1. Les malheurs de Clotilde Ch. 02


    Datte: 25/07/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... joues. Comment un bruit peut-il faire ça.
    
    Peu à peu, tandis que Greg progresse lentement en moi, je me rends compte que ce bruit est humain.
    
    Peu à peu je me rends compte que c'est un hurlement. Comme un être humain peut-il hurler comme cela? Comment peut-il avoir mal à ce point? Comment peut-on lui faire subir une telle chose? Et Greg qui continue à rentrer dans mon corps. Lentement, savourant chaque millimètre de son pénis qui viole mon vagin. C'est horrible comme cela fait mal. C'est une torture absolue. C'est monstrueux.
    
    Mon dieu, je sais enfin d'où vient ce bruit abject. C'est moi, c'est moi qui hurle. De douleur, de haine, d'humiliation, d'anéantissement. Et ce truc que je sens progresser dans mon sexe, comme un serpent énorme, comme un poison. A voir le visage de Greg, on peut dire qu'il aime ça. Autant ce qu'il me fait que ce qu'il entend. Jamais je n'aurais put croire que je pouvais hurler comme cela. Aussi puissamment, aussi longtemps. On y entend tout ce que je ressens. Toute la destruction totale et absolue que ce monstre fait subir à mon âme et à mon corps. Quand à la pluie, c'est mes larmes, ma bave, ma morve, le tout réunit, qui me trempe le visage, le haut de mon torse...
    
    Ça y est, il est entièrement en moi. Il reste immobile, me souriant. Pas un sourire gentil ou bienveillant, non celui du pervers, celui du monstre fier et heureux de ce qu'il fait subir à sa victime. Ce qui se passe actuellement. Lui est le bourreau, moi la victime. Mais au ...
    ... milieu de ce maelstrom je me jure que je me vengerais.
    
    Mais je me mets à hurler plus fort, montant d'un cran dans l'horreur. Il se met à bouger en moi. Pas amoureusement, non, violemment, puissamment, comme si il voulait me tuer de son pénis. Il me détruit, me défonce, sans aucun respect pour mon sexe étroit. Il est gros, bien trop gros pour que je puisse le recevoir sans conséquence. La douleur, mon dieu, cette douleur, sourde lancinante, irradiante.
    
    Non, il fait quoi? Il vient de me cracher dessus. D'abord dans ma bouche grande ouverte sur mon hurlement continu. Puis sur mon visage. Il m'humilie encore plus, me rabaisse comme un animal, un vulgaire animal. Pire, pour lui je ne suis donc plus humaine, je suis juste un sexe, un fourreau pour son pénis.
    
    Je n'en peux plus de hurler, et Greg continue son viol si plaisant pour lui. Moi je me contente de subir et de gémir de souffrance. Ne lâchant qu'un cri quand la douleur est trop forte. Il coulisse mieux, mais je ne mouille absolument pas. Il a dut me déchirer le vagin, cela doit-être mon sang qui lubrifie mon intérieur. Rendant, ainsi, pour ce monstre mon viol bien plus agréable. Mes seins volent dans tout les sens, frappant même mon menton, de les voir ainsi bouger, cela rajoute à mon humiliation, à ma détresse mentale.
    
    Non, non, il accélère le rythme de son accouplement. Il doit jouir ailleurs, mais pas dans mon corps. Je ne prends pas la pilule, je risque de tomber enceinte. Mon dieu, attendre un enfant de lui, un ...
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