1. Les malheurs de Clotilde Ch. 02


    Datte: 25/07/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... sexe. C'est impossible, il se passe quoi?
    
    Mais je déchante vite. Aucune intervention divine là-dedans
    
    - Au fond, on va lui enlever son bâillon, j'ai envie de l'entendre gueuler comme la truie qu'elle est! Tant pis pour les voisins, de toutes façons la prochaine villa est éloignée. On ne risque rien.
    
    Meyer m'enlève alors mon bâillon, libérant ma bouche.
    
    Je voudrais le supplier, essayer de le faire changer d'avis. Mais le souvenir de ses coups de pieds est encore cuisant, et sa menace de m'en donner d'autres, bien présente dans ma mémoire. Alors je pleure, je ne dis rien. Il s'installe de nouveau entre mes cuisses, son gland cogne de nouveau les lèvres de mon sexe. Je vais être violer, et je ne fais ni ne dis rien pour me défendre. Je suis comme une vache que l'on emmène à l'abattoir. Sauf que là le couteau est un pénis. Et que au lieu de m'égorger il va forcer mon corps.
    
    Je sens son gland se frotter contre mon vagin, de haut en bas, puis se presser contre mon clitoris. Il fait ça deux ou trois minutes. Sûrement dans le but de me faire mouiller. Mais point de cyprine. Je reste sèche, aride même tellement la peur m'a envahit.
    
    - Désolé pour toi ma belle, mais je vais te baiser comme ça.
    
    Je ne répond pas, je me contente de le regarder, à travers mes larmes, avec toute la misère du monde dans les yeux.
    
    Il me sourit. Comment lui, mon meilleur ami, presque mon frère peut-il me faire ça? Je n'ai pas le temps de penser à ça. Son gland vient d'écarter mes grandes ...
    ... lèvres vaginale. Puis les petites. Je gémit autant de douleur que de surprise.
    
    - Fais pas ta pleureuse, je n'ai mis que le bout de mon gland!
    
    Mais le reste entre vite, déjà son gland cogne contre mon faux hymen. Il reste immobile, me souriant de toutes ses dents. Je ne sais pas ce qu'il attend. Mon cœur bat encore plus vite, je pleure encore plus fort, je respire encore plus difficilement.
    
    Je le sens toujours légèrement en moi. Je craque, il faut que j'évite ce viol, il faut que je le supplie. Je balbutie. - Pi... Pitié...
    
    Ses mains se pose contre mes hanches, il me tient fermement.
    
    - Greg, je t'en supplie... pas toi...
    
    Son sourire s'agrandit.
    
    - Si moi.
    
    Il regarde mon corps, ses yeux s'attardant sur mes gros seins.
    
    - Mais avant, je dois te prévenir, tu as parlée sans autorisation, quand on se sera bien servit de toi, je tiendrais ma promesse. Je te punirais sévèrement!
    
    Je suis encore plus épouvantée, j'ouvre la bouche, mais ne dis rien. Il me punira encore plus après.
    
    Mais aussitôt j'oublie sa menace de punition. Une vive douleur envahit mon sexe, mon intérieur, mes chairs délicates et fragiles. Bizarrement un bruit puissant, aigu, très aigu envahit la pièce. Ça m'oppresse, me fait mal aux oreilles, mes poumons se comprime. Je ne sais pas ce que c'est, mais ce bruit horrible me brûle la gorge, les cordes vocales. Puis il pleut dedans. C'est impossible je sais, mais je peux vous jurer que mon visage est trempée, comme mon menton, le bas de mes ...
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