Quand ma grande soeur vient dormir chez moi (1)
Datte: 24/07/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Storymaker, Source: Xstory
... touchait-elle vraiment ? Mon sexe grandit à cette idée, au point d’avoir une érection de folie. Je mis une main dans mon caleçon pour replacer ma queue vers la droite ; elle était plutôt grosse et tellement bandée qu’elle soulevait d’elle-même l’élastique de mon boxer, dépassant légèrement.
D’un geste « maladroit » du pied gauche, je poussai ma couverture de façon à laisser mon boxer à l’air libre, puis j’écartai un peu les jambes en plaçant ma jambe droite sur le coin du lit de ma sœur. Désormais, je sentais l’air sur ma grosse bite qui dépassait un peu de mon boxer. Mon cœur battait la chamade : ma grande sœur, à quelques centimètres de moi, avait peut-être ses yeux rivés sur mon sexe, et cette idée m’excitait follement.
Pendant un instant, mon cœur battait si fort que j’entendais mes pulsations cardiaques résonner dans mes oreilles comme un tambour, puis l’effet s’estompa. Je n’attendais plus qu’un signal. « Si elle se touche, je lui saute dessus ! » pensai-je, et cette idée m’enhardit davantage. Dans la foulée, j’entendis son souffle s’accélérer. Elle prenait de grandes et amples inspirations et ses expirations étaient courtes, elle haletait désormais et finit par laisser échapper un court soupir : « Han » fit-elle, presque en chuchotant. C’est à ce moment précis que je n’en pus plus.
En un éclair, je me redressai légèrement ; de la main gauche j’allumai la lampe de chevet se trouvant sur la commode, et de la droite je tirai impétueusement sa couverture de façon ...
... à la faire valser sur le sol. La lumière fut une explosion solaire, et je découvris ma grande sœur se touchant dans son lit, la main droite dans sa culotte rose et l’autre sur ses seins qui pointaient à travers son tee-shirt gris. Par réflexe elle serra ses jambes et les replia sur elle-même, et se redressa également, mais j’atteignis déjà ses mollets et les écartai d’un coup, puis sans qu’elle ne comprenne je plongeai mon visage contre sa culotte toute mouillée. Je commençai à lécher à travers le tissu, puis j’écartai dans la foulée sa culotte sur le côté pour découvrir sa magnifique chatte totalement épilée. Elle se laissa faire. J’entrepris de lécher son clito, je lui donnais des coups de langues précis et descendais quelques fois sur ses lèvres.
— Han oui, laissa-t-elle échapper, continue. C’est bon…
Avec une main elle appuyait ma nuque contre sa chatte et avec l’autre elle se caressait les seins ; son bassin ondulait au rythme de mes coups de langue, ses yeux roulaient vers le ciel et elle mordait sa lèvre inférieure tout en gémissant. Je dégustais la chatte de ma sœur et goûtais à sa cyprine, elle était délicieuse. Elle ne contrôlait plus ses jambes qui faisaient sans cesse des allers-retours, se pliant, se dépliant, et c’est à ce moment-là que je lui insérai un doigt : elle était chaude et trempée. Là, elle ne put plus se contenir : son corps fut pris de violentes secousses et elle inonda le lit tout en gémissant :
— Ohhhh oui !
À peine eut-elle le temps de ...