Quand ma grande soeur vient dormir chez moi (1)
Datte: 24/07/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Storymaker, Source: Xstory
... souvent en sous-vêtements ; lorsqu’elle ramassait quelque chose à terre et que j’étais dans la pièce, elle se baissait exagérément, m’exposant ses fesses ; lorsqu’elle me parlait, elle me tournait souvent le dos en me fuyant du regard, comme une invitation à mater son superbe fessier ; elle était devenue beaucoup plus tactile avec moi, essayant de me chatouiller ou d’avoir un contact corporel avec moi à la première occasion, contact que je lui rendais d’ailleurs avec plaisir. Bref, je devenais fou. C’était ma sœur, donc un fantasme inavouable et impossible, mais parce que c’était ma sœur, c’était incroyablement excitant…
J’avais un appartement dans une grande ville étudiante, et ma sœur venait souvent dormir chez moi car son travail était plus proche de chez moi que de la maison de nos parents. C’était un modeste appartement déjà meublé comportant un petit couloir à l’entrée donnant sur deux portes : une salle de bain et une pièce unique qui continuait sur la gauche pour se transformer en une petite cuisine. Au centre de la pièce se tenait une table avec quatre chaises et dans un coin un bureau noir à côté d’une armoire beige. De l’autre côté transversal se tenaient une étagère et une commode à la gauche desquelles, dans le coin opposé, étaient disposés deux lits à place unique collés l’un à l’autre. Pratique pour que ma sœur vînt dormir chez moi…
Mon comportement envers elle avait également changé. Je crois que j’essayais de l’exciter, peut-être pour quelle sautât le ...
... premier pas. Je dormais généralement en caleçon, et dès qu’elle rentrait dans la douche le matin, je sautais sur mon téléphone pour mater un bon porno et me masturber frénétiquement (en pensant à ma sœur, évidemment.) Lorsqu’elle revenait de la douche, ma couverture était relevée et je feintais de dormir, et mon boxer moulait mon sexe bandé. Impossible pour elle de manquer le spectacle.
Une fois, je m’étais même masturbé à côté d’elle. Son réveil avait sonné – m’ayant réveillé par la même occasion – et elle délayait son lever en textotant dans son lit, collé au mien. Une excitation grandissait en moi et, le sexe bandé, alors que je lui faisais dos dans mon propre lit, je commençai du bout des doigts à me caresser sous la couverture. Mes mouvements étaient subtils, je ne faisais qu’effleurer le bout de mon gland avec des mouvements circulaires et ne faisais aucun bruit de frottement avec la couverture ; je m’arrêtai juste avant le point de non-retour pour recommencer quelques minutes plus tard, le caleçon rempli de liquide pré-séminal. Cela m’excitait au plus haut point de savoir ma sœur derrière moi, à seulement quelques centimètres. Alors que j’avais répété l’opération plusieurs fois et que j’arrivai une nouvelle fois au bord de l’éjaculation, je retirai une fois de plus ma main de mon caleçon et me tournai de l’autre côté, face à Mél ; je lui dis bonjour en souriant et éjaculai au même moment, sans même toucher à mon sexe, quel pied ! Elle m’avait répondu mais n’avait pas ...