1. La surprise de Marie


    Datte: 24/07/2020, Catégories: Lesbienne Auteur: byfrederic_le_dard, Source: Literotica

    ... qui me goinfre, quand ils te baisent c'est toi qui touche. Tu verras, c'est joindre l'utile à l'agréable."
    
    On caressait mon visage, mes joues, mes lèvres écartées par le bâillon, mon menton. Je finis par reconnaître le contact d'un gland. Un homme frottait sa bite. Il la plaça à côté de la boule de plastique qui m'ouvrait la bouche. Il défit l'élastique et d'un même mouvement, sortit la boule et rentra son sexe. Je ne pouvais pas vraiment protester, ni le sucer étant donnée ma position avec un côté de la tête sur l'oreiller. Disons que j'avais changé de bâillon et que celui-ci était malgré tout d'une consistance et d'un goût plus agréables.
    
    On me prit la taille et une vraie bite me remplit la chatte. L'homme me baisa sans retenue, semblant pressé de se vider en moi. Il laissa ma taille pour m'agripper la poitrine. Je l'imaginais à genoux derrière moi, donnant des grands coups de bassin, pistonnant mon vagin à toute allure, tirant sur mes mamelles. Je l'entendais souffler de plus en plus fort, râlant puis criant son plaisir et je le sentis gicler plusieurs fois alors qu'il projetait ses fesses en avant et qu'il m'écrasait les seins. Il se retira. Un autre pris sa place, mais au lieu de me prendre par le trou de devant, me prit par celui de derrière. Il me sodomisa sans problème tellement le gode de Marie m'avait ouvert le cul. Lui aussi voulait se soulager. Il me bourrait en restant au fond, donnait des petits coups de reins qui m'écrasaient les fesses. Je sentais ...
    ... régulièrement ses couilles qui devaient ballotter. C'était comme s'il se branlait dans mon trou. Il éjacula aussi assez vite et je sentis son sperme me remplir le derrière.
    
    Celui qui était dans ma bouche se dégagea. Quelqu'un commença à me détacher. On m'enleva mon bandeau. Je basculais sur le dos, étendis mes jambes, massai mes mollets et mes genoux. L'homme m'écarta les pieds et prit place entre mes cuisses. Je ne pensais même pas à protester et il m'enfila sans difficulté. Contrairement aux deux autres pour qui je n'avais été que deux trous pour deux bites, lui me faisait l'amour. Il me caressait les seins, les suçait, dégageait mes cheveux, me regardait dans les yeux, et en même temps me prenait lentement mais avec vigueur. La bestialité des autres puis la tendresse de celui-ci me mettaient dans un état d'excitation tel que je voulais jouir à mon tour. Mon partenaire était attentif et il vit les transformations de mon regard qui devenait de plus en plus implorant. Je vis moi aussi dans ses yeux qu'il perdait pied petit à petit. J'ouvrais plus mes cuisses, je creusais les reins, je plaquais mes mains sur ses fesses et nous nous regardions tandis que le plaisir venait. Je le sentis éjaculer en moi et ses premières giclées, la contraction de ses fesses, son regard vitreux, son cri de jouissance me firent jouir à mon tour. J'enfonçais mes doigts dans la chair de son cul comme si je voulais lui mettre les couilles à sec.
    
    Il resta allongé sur moi et m'embrassa. Puis il se ...