1. La surprise de Marie


    Datte: 24/07/2020, Catégories: Lesbienne Auteur: byfrederic_le_dard, Source: Literotica

    Le lendemain, je sonnais chez Marie à dix heures. Nous avions convenu de déjeuner ensemble. Je ne devais repartir qu'en fin d'après midi.
    
    Marie m'emmena directement dans sa chambre, sans me demander si je voulais boire quelque chose. Elle était déjà excitée et je l'étais aussi. Déjà en m'habillant à la maison je m'étais rendue compte que mon sexe était mouillé. Je savais que nous allions faire l'amour et en plus, il y avait cette surprise qu'elle m'avait promise et qui me mettait l'eau à la bouche, ou plutôt à la chatte.
    
    Nous commencions à avoir nos habitudes. Elle m'embrassa longuement, me caressant le corps comme le ferait un homme, pelotant mes seins, malaxant mes fesses, écartant ma culotte pour pouvoir glisser ses doigts dans mon vagin, pénétrant mon anus. En même temps, elle me déshabilla petit à petit, baissant ma culotte que j'enjambai pour m'en débarrasser, ouvrant ma robe et la faisant glisser à mes pieds, dégrafant mon soutif en m'embrassant les tétons.
    
    Quand je fus nue devant elle, elle m'ordonna de monter sur le lit et de m'asseoir sur mes talons. Elle prit un masque noir dans la table de chevet et elle l'ajusta sur mes yeux. A partir de cet instant, je ne voyais plus ce qu'elle faisait. Je ne pouvais plus me fier qu'à mes autres sens, et plus spécialement l'ouïe, pour comprendre ce qui se passait. Je l'entendis sortir tout un attirail avant de refermer le tiroir.
    
    Elle me demanda de prendre appui sur mes mains et de lever légèrement les genoux. Je ...
    ... sentis qu'elle passait une corde autour de mes cuisses et de mes jambes, pour les maintenir repliées. Elle attacha une seconde corde à la première, qui partait de mon dos et faisait le tour de ma taille. Ainsi, la première corde était tenue vers l'arrière, l'empêchant de glisser vers l'avant. Je pouvais encore plus ou moins ouvrir les cuisses et les refermer mais je ne pouvais plus me lever. Je gardais mes talons collés à mes fesses.
    
    Marie plaça mes bras derrière mon dos et attacha mes poignets à la corde autour de ma taille. Elle me fit basculer en avant. Ma tête retomba sur un oreiller. Mes pieds décollèrent du matelas. J'avais le cul dressé. Mes genoux servaient de pivot mais à cause du poids de mon buste, je restais dans cette position de prosternation et ne pouvais plus me relever sans aide.
    
    Marie me demanda d'ouvrir la bouche. Elle souleva ma tête pour passer un élastique autour de ma nuque et introduire un bâillon entre les mâchoires. C'était une sorte de boule en plastique. Je pouvais encore gémir mais je ne pouvais plus parler. "Je vais te baiser avec un gode ceinture et ensuite je t'enculerai." Je l'entendis se déshabiller puis s'harnacher. J'avais déjà vu ce genre de dispositif sur internet et je l'imaginais avec une sorte de porte-jarretelle en cuir solide et un gode rigide fixé au niveau de sa chatte.
    
    Sans préparation, elle me pénétra avec la bite factice, me tenant aux hanches. Ce devait être un engin de gros calibre, en tous cas bien plus gros que le zizi ...
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