Des inconnus dans la rue
Datte: 24/07/2020,
Catégories:
Masturbation
Hardcore,
Mature,
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... la situation très inattendue. Le matin, en me branlant, j’avais imaginé que je lui répondais « d’accord ». Et que je le suivais jusque chez lui. Que je me foutais à poil dans sa chambre et que je le suçais. Qu’on baisait sur son lit. Puis que je repartais et que la parenthèse se referme, comme si rien ne s’était passé.
J’en avais terriblement envie, mais je n’ai pas retrouvé cet homme.
Le soir venu, j’ai fait comprendre à Paul que j’avais envie de baiser. Nous l’avons fait, mais il a rapidement déchargé sur ma chatte. J’avais à peine eu le temps de fermer les yeux pour imaginer que c’était un autre homme qui était en train de me pénétrer.
Le lendemain matin, je me suis de nouveau branlée comme une furie.
Le soir, je n’ai pas retrouvé l’homme. J’ai repris la rue en sens inverse, quatre fois de suite, en vain. Et aucun autre inconnu n’a eu la bonne idée de m’aborder. Je suis rentrée, mais ce soir-là, Paul n’a pas eu envie de baiser. Alors j’ai attendu le lendemain qu’il soit parti, pour me défoncer de nouveau avec des objets, en m’imaginant des scénarios.
Je suis repassée dans cette rue commerçante des dizaines de fois dans les jours qui ont suivi, y compris le samedi après-midi. Je n’ai pas revu l’homme. Je n’ai pas cessé pour autant de fantasmer, chez moi, le matin après le départ de Paul, ou en plein jour quand il était absent.
Ça me travaillait.
Ça m’obsédait.
La vie pouvait se dérouler ainsi, parfois. La routine pouvait voler en éclats du ...
... simple fait d’accepter de s’envoyer en l’air pendant une heure avec un inconnu. N’importe qui. N’importe où. Ça me plaisait de l’imaginer. En me masturbant, je m’étais même dit que l’âge m’importait peu. Des mecs plus jeunes que moi, ou bien plus vieux. J’avais tout imaginé et j’avais joui de toutes les situations, sans aucune exception, à partir du moment où elles étaient complètement imprévues et qu’il n’y avait pas de suite à l’aventure.
Alors, vers la fin de l’été, je me suis décidée.
Paul allait rentrer tard ce soir-là, à cause d’une réunion de travail.
J’ai quitté mon boulot à 18 heures et suis allée me promener dans les rues du centre-ville, toute seule. Je portais une robe noire à dos nu qui s’attachait dans la nuque, assez courte. Je n’avais pas de soutien-gorge, mais une culotte en revanche, rose foncé, et des nu-pieds à talons.
J’ai abordé un homme qui avait la quarantaine, au physique ordinaire. Il était en train d’examiner le contenu d’une vitrine d’opérateur téléphonique.
« Excusez-moi, dis-je. »
« Oui ? »
J’ai eu un temps d’hésitation, puis je lui ai dit :
« Je m’appelle Mathilde. »
L’air intrigué, il répondit :
« Guillaume. »
« Enchantée, Guillaume. Vous habitez dans les coins ? »
« Pas loin, oui, pourquoi ? »
« On peut y aller à pieds ? »
« Pourquoi voulez-vous savoir tout ça ? »
« Accepteriez-vous de faire l’amour ? On va chez vous, on le fait et je repars. Et on n’en parle plus. C’est très simple. »
« Vous êtes ...