1. Des inconnus dans la rue


    Datte: 24/07/2020, Catégories: Masturbation Hardcore, Mature, Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    J’avais 28 ans. A cette époque, je vivais avec un mec qui s’appelait Paul. Il avait un boulot, j’en avais un aussi. On gagnait correctement notre vie. Tout se passait plutôt bien, jusqu’à cette fin de journée, en plein été, où un homme m’a abordée dans une rue commerçante.
    
    Il m’a dit :
    
    « Je vous demande pardon, mademoiselle. »
    
    Je me suis arrêtée, persuadée qu’il allait me demander où se trouvait telle rue, ou tel magasin. Il n’avait pas tout à fait cinquante ans. Un homme élégant, plus grand que moi. Les cheveux grisonnants, les yeux bleus.
    
    « Oui ? lui ai-je dit. »
    
    Avant de me poser sa question, il a pris une longue inspiration. Il portait une chaine en or au cou et une chemisette blanche à manches courtes.
    
    Il expira et dit :
    
    « Accepteriez-vous de faire l’amour avec moi ? Tout de suite. J’habite à deux pas d’ici. Nous faisons l’amour et vous repartez. Et même si l’on vient à se recroiser un jour, je ne vous ennuierai pas, je vous le jure. »
    
    J’ai fait non de la tête et répondu :
    
    « Laissez-moi tranquille. »
    
    Puis je suis partie.
    
    Cette rencontre m’a travaillé l’esprit jusqu’à mon retour à l’appartement où je vivais depuis deux ans avec Paul. Il était là quand je suis entrée, mais je ne lui ai rien dit. La soirée s’est déroulée normalement. Nous avons pris un verre en se racontant notre journée. Nous avons dîné, regardé un film, puis nous nous sommes couchés.
    
    Mais j’ai mis du temps à m’endormir.
    
    Les paroles de cet homme qui m’avait abordée ...
    ... dans la rue persistaient à résonner dans ma tête : « Accepteriez-vous de faire l’amour avec moi ? Nous faisons l’amour et vous repartez. »
    
    Je me suis tournée et retournée maintes fois dans le lit, jusqu’à ce que le sommeil vienne. J’ignore l’heure qu’il pouvait être.
    
    Le lendemain, Paul s’est levé vers 6 heures, comme chaque jour de la semaine. D’ordinaire, j’ouvrais les yeux et je me rendormais aussitôt. Je ne commençais qu’à 10 heures, j’avais tout mon temps. Mais ce matin-là, je ne me suis pas rendormie ; les paroles de l’homme croisé la veille se sont remises à tourner en boucle.
    
    Une heure plus tard, après que Paul ait quitté l’appartement et que j’ai entendu sa voiture démarrer dans la rue, je me suis masturbée. D’abord des petits gestes délicats, hésitants, puis d’autres plus marqués. Au bout d’un moment, j’ai repoussé le drap du lit et, précipitamment, j’ai ouvert grand mes cuisses. Je me suis fourrée des doigts dans la chatte, jusqu’à ce que je jouisse. Ensuite, exténuée, complètement excitée, je suis allée chercher une courgette dans le frigo et je me suis mise à quatre pattes sur le sol du salon. Je me suis d’abord enfoncé le légume dans la chatte, bien profond, puis je l’ai enduit de salive et je me suis enculée avec, tout en me branlant le clitoris.
    
    J’ai joui trois fois ce matin-là.
    
    Le soir, en sortant du boulot, dans la rue commerçante de la veille, j’ai cherché l’homme des yeux dans la foule. Ce n’était pas tant lui qui m’avait séduite, mais plutôt ...
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