1. Moi, Pro-Fesseur honoris fessa, épisode 1


    Datte: 23/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Auteur: charime, Source: xHamster

    ... pied en torturant les autres. Là, tu t’es juste fait passer pour un blaireau, un gros con ! Bon, je me rentre, demain je reçois. Salut sœurette, salut la compagnie.
    
    Je me rentrais et à pied, je n’habite pas très loin. J’étais à mi-parcours quand elle est arrivée derrière moi. Un peu secouée encore, elle me demande si je punis réellement des femmes contre rémunération. Je ris et aux éclats.
    
    - Je ne sais plus votre prénom, et c’est bien dommage. Oui, c’est mon métier enfin, façon de parler. Pour tout dire, je suis le paria d’une famille de bien-pensant à cause de ça. Il n’y a que ma petite sœur qui me comprend. Mais pourquoi cette question ?
    
    - Simplement par curiosité. En tout cas, ce Jérôme, vous l’avez bien mouché, il est parti furieux après vous, juste après votre départ.
    
    - Pas grave, il sait que j’ai raison. Je vous offre un dernier verre chez moi ? En tout bien tout honneur, je sais me tenir. Je ne suis pas le sadique sans sentiment que l’on prétend.
    
    Elle accepte. Dans mon loft, elle semble encore plus secouée, plus…étonnée ? Non, c’est bien plus que ça, intriguée serait plus juste, quoique….interloquée ou ahurie, oui, c’est ça, ahurie, c’est ce qu’elle est. Mon loft est dédié au sexe, de celui de monsieur et madame tout le monde, aux vices les plus fous. Je la regardais visiter mes six pièces dédiées au sexe. Il n’y a que ma chambre qui ressemble à une chambre à coucher…disons presque civilisée. Me fixant, elle prend le verre que je lui tends.
    
    - C’est ...
    ... bien votre sœur que j’ai vu sur cette photo, dans votre chambre ?
    
    - Oui, nous avions quoi, elle dix-neuf et moi trois de plus. Je n’étais pas ce que je suis, pas encore. Mais j’aimais déjà jouer avec les cordes, c’est ma marotte. Je l’avais attachée sur cette barrière, c’est chez nos grands-parents. Oui, Isabelle vous en dira plus que moi. Je préfère que ce soit elle qui vous raconte. Chez moi, vous ne verrez jamais couler le sang, par contre, pour les plus masochistes, vous verrez des marques profondes, des marques qui ne disparaissent qu’après un mois ou deux. Du sang, si, quand je joue avec des aiguilles. Mais je ne peux en dire davantage sous peine de rompre le secret que je dois à mes clients. Venez, je vais vous faire la visite guidée de mon donjon. C’est mieux que toute seule.
    
    Pièce après pièce, je lui explique le déco de chacune, disons, pour faire court, que chacune de mes chambres est sur un forme de soumission différente, de la plus douce à la plus hard que je pratique. Plus nous parlions, plus je répondais à ses questions, plus je la sentais désireuse de faire une tentative. Je la pensais assez capable de me mettre au défi, la faire jouir en jouant au papa pervers. Dans mon salon, je lui montrais les différents contrats que je proposais, leur degré de jeu, les durées envisagées, tout le toutime pour encore faire court.
    
    - Une question, vous n’avez pas de femme de ménage ?
    
    - Si, dis-je en riant, et elles paient pour tout me le faire. Chaque jour, une ...
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