1. Moi, Pro-Fesseur honoris fessa, épisode 1


    Datte: 23/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Auteur: charime, Source: xHamster

    ... robe. Elle a écarté ses genoux d’une bonne largeur de poing. Je lui fais remplir les documents usuels, je n’ai pas laissé les choses au hasard. Il me faut toujours être précis. Pendant qu’elle se soulage, de ma place je vois qu’elle n’a pas fermé la porte de mon WC. Assise, elle avait tout loisir de me laisser voir son bas-ventre. Je la vois rougir de mon regard très appuyé. Elle s’essuie son sexe, se lève, laissant descendre sa robe en approchant de moi. C’est une bien belle tentation. J’aurais aimé la baiser là, à même le parquet. Je m’y refuse, ce n’est pas dans ma nature de sauter sur une femme comme ça. Et puis, il faut bien que je lui montre que ce n’est pas elle qui mène le jeu, mais moi.
    
    Quand elle voulut s’assoir, je lui demandais de ne pas s’assoir sur sa robe. Elle rougit et s’exécuta, la relevant sur ses reins. Dès lors, je la savais prête à se soumettre. En signant mes documents, elle le fit sans en faire une lecture complète, presque à l’aveugle. Il allait être l’heure de passer à table, je l’invitais au restaurant, celui où j’y ai ma table. Un coup de fil plus tard, nous étions assis côte à côte, chacun sur sa chaise. Très vite, je fis non de la tête quand elle voulut s’assoir normalement. Elle releva l’arrière de sa robe, ce détail n’échappa à l’ensemble de la table voisine. Quant au personnel du lieu, il me connait bien et c’est très loin d’être une première pour moi, comme pour eux. Certains peuvent même se targuer d’avoir pu baiser l’une ou l’autre de ...
    ... mes clientes dociles et ne le regrettent pas, mon pourboire en somme. Durant le souper, je la sens très humble, terriblement docile. Mais aussi très enjouée, ce qui est très loin de me déplaire. Cela étant, je la teste, je repousse déjà quelques-unes de ses limites, comme de dévoiler ses cuisses en remontant sa robe d’un peu à chacune de mes demandes. À la fin du repas, devant ce restaurant, nous nous séparons. Rendez-vous est pris, je l’embrasse en glissant ma main sous sa robe, dévoilant ses fesses à tous les passants, mon majeur appuyant sur son anus. Elle ne se refuse pas, sa mouille coulant sur ses cuisses me le prouve.
    
    Pendant un mois, elle m’envoie régulièrement un texto, un ou deux par jour. Dans ses messages, elle me dit ce qu’elle fait et pourquoi, si elle jouit ou pas. Je ne lui ai rien demandé de tel, non, pour moi, c’est dans une semaine que commence son weekend chez moi.
    
    Aussi, le lundi précédent son arrivée, je lui fais parvenir une longue lettre dans laquelle je lui fais part de mes exigences et elles sont non négociables. Pour toute réponse, je reçois un court texto qui me dit qu’elle est prête et accepte tout.
    
    Jeudi, j’ai agendé l’arrivée de deux clientes pour toute une journée sous mon joug à faire l’entier de mon ménage. Deux amies qui ne font rien l’une sans l’autre, deux petites perles de lesbienne qui ne viennent chez moi que pour me subir et se faire baiser par le seul homme qu’elles acceptent, moi, sans aucune vanité.
    
    Vendredi, dernière ...
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