1. C'est grave, docteur ?


    Datte: 13/04/2018, Catégories: fh, médical, Voyeur / Exhib / Nudisme 69, préservati, pénétratio, fdanus, hdanus, Humour Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... c’est assez délicat…
    — Vous pouvez me parler ouvertement, je suis une femme certes, mais médecin avant tout. Soyez sans crainte, tenue au secret médical.
    
    Que va-t-elle s’imaginer, que j’ai un élevage de bébêtes dans le slip ou alors des agarics ?
    
    — J’ai un souci, une inquiétude au niveau de mes… enfin là quoi, dis-je en indiquant mon pôle sud.
    — J’avais compris, veuillez vous déshabiller.
    
    Alors que je retire mes pompes et mon froc, elle me pose diverses questions :fumje, boije, vivjeseul, non, non, oui. Quels sont mespoids, taille, âge 90, 1, 90, 35 – je triche, presque 36 en fait – et quel est mon travail : sculpteur sur bois.
    
    — Oh, intéressant…
    
    Je me retrouve devant elle en caleçon décoré de nounours – le plus ample. Elle se fend d’un sourire et murmure unoriginal, mais mignon.
    
    Maintenant, elle se fout de ma poire !
    
    — Bien, montrez-moi l’objet du litige.
    
    Je baisse mon calbut et me retrouve debout devant elle, la bite à l’air et les bras ballants, ne sachant quelle contenance adopter.
    
    — Oh !
    
    Autant tout le long de notre entretien préalable, elle souriait, maintenant ses jolis yeux noisette se font inquiets. Ses sourcils se froncent et sa bouche se résume à un trait fin.
    
    Elle enfile des gants chirurgicaux et s’agenouille face à monbonheur des dames. Autant cette situation m’eût intéressée en d’autres circonstances, autant aujourd’hui j’en ai le bigorneau raplapla.
    
    Elle me soupèse les bourses.
    
    — Aïe.
    
    Elle me tâte le bas du ...
    ... ventre.
    
    — Toussez.
    —Koff, Koff. Aïe.
    — Allongez-vous sur la table. Il y a longtemps que vous avez ça ?
    — Quelques semaines, un mois, un mois et demi peut-être, dis-je en m’installant.
    
    Elle me replie la jambe, me touche l’aine.
    
    — Ouille.
    — Bien, retournez-vous et mettez-vous à quatre pattes sur la table, les fesses bien en l’air.
    
    Elle ne va pas… ben si, elle va et elle fait ! Un peu de lubrifiant sur le doigt et elle introduit son index dans ma dunette arrière.
    
    — Détendez-vous, ne vous crispez pas.
    
    Je voudrais bien l’y voir, elle !
    
    En fait oui, je voudrais bien qu’elle soit à ma place et moi à la sienne.
    
    — Aïe.
    — Voilà, c’est fini, me dit-elle en me mettant une tape amicale sur le cul. Vous pouvez vous habiller.
    
    Je me relève tout étourdi et pose la question à cent balles :
    
    — C’est grave docteur ?
    — Ce n’est pas très grave, mais ça peut le devenir très vite, en tout cas c’est devenu très, très urgent. Vous avez presque trop tardé à venir.
    
    Elle prend son téléphone, me regarde dans les yeux et me dit tout de go :
    
    — Vous n’avez rien de prévu pour ce soir ?
    — Bah, beuh, pas vraiment non.
    
    Si c’est pour un plan Q et plus si affinités, je suis partant ; mais non, elle a une autre idée en tête. Elle entame alors une conversation avec un interlocuteur inconnu.
    
    — Allo, Paul, désolé de te déranger, mais j’ai une urgence très urgente sur les bras. Es-tu d’attaque là, de suite, un bloc opératoire prêt ?
    — …
    — C’est une hernie inguinale très vilaine ...
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