C'est grave, docteur ?
Datte: 13/04/2018,
Catégories:
fh,
médical,
Voyeur / Exhib / Nudisme
69,
préservati,
pénétratio,
fdanus,
hdanus,
Humour
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... mortaise, nous ne bougeons plus.
Nous nous embrassons langoureusement, je sens son doux fourreau presser mon dard, son joli clito frotte contre mon pubis et la fait gémir de plaisir.
Lentement, mais sûrement, nous montons tous deux vers le septième ciel, ensemble. Nous nous étreignons l’un l’autre tels des naufragés sur un frêle esquif.
Dominique se serre encore plus contre moi alors que son corps trémule de haut en bas. J’en profite moi aussi pour larguer les amarres.
Nous récupérons nos esprits quelques minutes plus tard en nous exclamant de concert :
— Que s’est-il passé ?
— Je ne sais pas trop, mais c’était vachement bon, confirme mon toubib.
Nous émigrons dans la chambre pour prendre quelque repos bien mérité. Le lendemain matin, je la trouve blottie contre moi, mon torse en guise d’oreiller.
Je garde toujours près de moi un carnet où je dessine, où j’y laisse des idées de futures sculptures. Cette fois je la croque, le petit nez, un sourire angélique, l’arc du sourcil et l’ombre de la pommette, la rondeur d’un sein et sa friandise, une mèche sur le front, l’ombre des cils sur une paupière. Dessiner une personne permet de la connaître intimement, de découvrir sa personnalité. De Dominique, je découvre la douceur, la gentillesse et un reste de candeur enfantine.
De la croquer ainsi me remue les sangs, réveille mes ardeurs amoureuses. Bref, il se passe des choses sous le drap. Ça se déplie, se déploie, se rigidifie et finit par atteindre sa main ...
... innocemment posée sur mon ventre.
— Hummm, murmure-t-elle en se saisissant de l’objet ; ça tombe bien, je ne suis pas de garde aujourd’hui.
— Tu vas m’épuiser.
— Mais non, ça fait partie de la rééducation.
La voilà revenue sur mon torse, la voilà qui s’empale à nouveau sur mon soc et ondule du croupion. Nous nous embrassons doucement ; en général le matin je me trimballe une haleine de chacal, mais cela ne semble guère la gêner.
Au bout d’une dizaine de minutes, c’est de nouveau le grand spectacle son et lumière. Après quelques instants de plénitude, elle s’étire et me serre contre son cœur.
— J’ai oublié de te passer un préservatif.
— Je suis désolé.
— Tant pis, faut bien se lancer un jour.
Sur ces paroles sibyllines Dominique se lève et se plante devant moi, dans toute sa splendeur et me déclare :
— J’ai faim.
C’est nus que nous avalons notre petit déjeuner, puis que nous prenons notre douche commune. Mais pas question de galipettes sous l’eau, je suis, paraît-il, fragile, une chute malencontreuse sur la savonnette et elle me ramène à l’hosto avec une épaule en vrac et une éventration, quelle horreur.
Toujours nus nous visitons mon atelier, Dominique s’extasie sur la douceur du bois, la couleur, l’utilisation des veines et cernes. Visite ponctuée de baisers et caresses.
Remontés dans l’appartement, je lui propose une séance de dessin. Elle pose debout, de face de dos, allongée. La dernière pose la fait réagir.
— Tu ne vas quand même pas me ...