Aurélien, un amour de footballeur - chapitre 2
Datte: 22/07/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Damador, Source: Hds
... quittèrent les alentours du terrain puis le vestiaire. Nous n’étions plus que tous les deux. Evidemment, je commençai de nouveau à bander et à devenir excité. J’avais envie de lui, de l’embrasser, de le serrer dans mes bras. Mais je n’osais rien faire tant qu’il ne montrait pas un signe clair et net de son côté. Pourtant, l’air était irrespirable. Il faisait chaud, nous étions encore transpirants et il régnait dans l’atmosphère moite de la salle une tension indescriptible. Alors que j’allais craquer, il prit la parole. « On va se doucher ? » suggéra-t-il. J’acceptai volontiers. Il se leva et me tendit son bras pour me relever. J’adorais quand il faisait ça, le sentir me porter, me tirer vers lui et apprécier sa force. Nous allâmes au vestiaire. Il était vide. Il se déshabilla rapidement mais j’eus le temps d’admirer son corps en mouvement pendant qu’il enlevait ses vêtements. Je pouvais notamment observer le mouvement des muscles de ses épaules, de son dos, de ses pectoraux et de ses bras quand il enlevait son t-shirt. C’était une belle oeuvre d’art animée, composée de formes galbées agréables à l’oeil. Je découvrais également ses mollets saillants quand il enlevait ses chaussettes. Et je profitais du bruit de son boxer moulant descendant le long de ses cuisses musclées.
Il fila sous la douche sans rien dire. Je le rejoignis rapidement, me sentant orphelin de sa présence. Quel naïf je faisais. Je l’admirais tellement que j’en étais devenu aveugle. Lui n’avait sans doute ...
... pas les mêmes aspirations. Je rêvais, tout simplement. Il fallait que cela cesse rapidement. J’appuyais sur le bouton poussoir de la douche pour mettre en route le jet d’eau et me rincer. Quelques secondes plus tard, l’’eau cessa de couler. A ce moment précis, un silence de cathédrale régnait dans les vestiaires : nous étions seuls tous les deux et l’eau ne coulait plus ni chez lui ni chez moi. Seuls quelques clapotis de gouttes d’eau dégoulinant de nos corps étaient perceptibles. Je n’osais pas dire un mot. Il mit du gel douche et j’allai en faire de même. Je lui aurais bien proposé mon aide pour le laver. « Non ! » Il fallait que cela cesse me forçai-je à me mettre en tête.
Alors que je bouillonnais intérieurement et que je me disais qu’il fallait que je m’en aille, je sentis sa main sur mon épaule. Je fus comme électrifié par cette sensation, si douce et agréable. Il me retourna vers lui et m’enfila sa langue droit dans ma bouche en me plaquant contre le mur. ll me roula une pelle que je n’avais jamais connu aussi savoureuse. Je fus pris d’un plaisir intense et d’un état de plénitude maximum. J’eus l’impression que ça dura des heures entières. J’étais contre le mur froid du vestiaire et je sentais son corps m’étreindre, sa bouche contre la mienne et sa langue fermement insérée. J’avais des frissons partout. Evidemment, nos queues étaient devenus bien dures, entretemps. J’ouvris les yeux l’espace d’un court instant et je constatai que la taille de son engin était au-delà ...