La roue de secours - Histoires de Sexe

La roue de secours

... fois dans la même soirée !

Elle riait.

— Non, sincèrement, vous êtes magnifique, tellement sexy et désirable, j’adore les femmes comme vous. Et quelle suceuse vous faites ! Félicitations !

Elle rougit. Et encore plus en voyant le car de police garé devant sa Clio. Mathias, lui, ne riait plus.

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Cela s’était mal passé !

Les poulets, gentils au premier abord, étaient devenus soupçonneux. Mathias ne voulait pas ouvrir le coffre où il avait rangé la roue de secours de la Clio, et où reposait son magot. Les flics jugeaient curieux que l’homme attende leur départ pour commencer à changer le pneu. Ils l’avaient donc forcé à ouvrir le coffre de la BM, et leur fouille minutieuse (ils n’avaient vraiment que ça à foutre, songea Sylvie), se révéla fructueuse. Au grand dam de Mathias, embarqué manu militari dans le fourgon.

— Bon, on laisse là votre Clio, Jean se charge de changer la roue, vous nous accompagnez au poste pour une déposition et on vous ramène.

Sylvie sentit que ce n’était pas le moment de contester. Les poulets passèrent les cadènes à Mathias, et ils embarquèrent à l’arrière du fourgon en compagnie de Guy, un moustachu, les deux autres passant à l’avant.

— Je suis foutu, chuchota Mathias à l’oreille de Sylvie.
— Pourquoi ?
— Je suis déjà tombé deux fois pour la même chose, là ils ne vont pas me rater, je vais en prendre un max’, ça ne fait que deux semaines que je suis sorti de ...

... taule.

Sylvie se tut. Elle était peinée pour son nouvel ami Arsène Lupin. Un si bel homme en prison, quelle misère…

Libre de ses mouvements, elle se mit à croiser et décroiser les jambes le plus haut possible. Guy suivait des yeux le manège, la queue raide sous l’uniforme. Elle se leva et s’assit à côté du flic.

— J’adore les uniformes, lui glissa-t-elle à l’oreille.
— Et moi j’adore les belles femmes comme vous, lui sourit Guy.

Sylvie posa sa main sur la braguette du quinquagénaire, l’abaissa et extirpa la bite dure pour la branler. Doucement, puis plus rapidement.

— Oh oui ! C’est bon ça, madame, hum, continue, ma belle.

Guy était en extase. Sylvie s’arrêta un instant. Elle se leva et ôta sa culotte, découvrant sa chatte blonde et son cul au flic, en transe. Elle mouillait depuis l’histoire des pipes.

— Tu veux ça, mon salaud ? lança-t-elle à Guy
— Tu m’étonnes, ma salope, t’es une vraie chaude, toi, une belle pute de bourge !

La vulgarité de Guy ne l’étonna pas, elle avait tout fait pour exciter le mâle. Et cela l’excitait un peu aussi. Elle écarta les jambes et s’empala sur le vit tendu du policier.

— Hum… oui…

Sylvie n’en rajoutait pas, la queue du flic était vraiment bonne. Mais elle ne devait pas oublier que c’était pour la bonne cause. Guy lui serrait la taille et imprimait le mouvement, il la baisait sans ménagement. Il ouvrit la veste de la superbe blonde et plongea sa tête dans les grosses mamelles si désirables qui s’offraient à lui. Sylvie ...