1. La roue de secours


    Datte: 21/07/2020, Catégories: fh, fhh, inconnu, uniforme, sales, voiture, BDSM / Fétichisme Masturbation facial, Oral pénétratio, Auteur: Jipé, Source: Revebebe

    ... à domicile ?
    
    Mathias se rassura : il s’agissait forcément d’argent sale (peu ou prou), qu’on ne réclamerait pas. Il fourra les biffetons dans son sac Adidas, qu’il ne tarda pas à remplir. Il ne resterait plus qu’à donner son pourliche à la bonne et à déposer le reste sur son compte en Suisse.
    
    Il passait la frontière toujours au même endroit, les billets ou les bijoux planqués dans la roue de secours. Les douaniers le connaissaient et le saluaient amicalement, du moins quand ils se tenaient à leur poste. Neuf fois sur dix, il se retrouvait en Suisse sans même s’en rendre compte. La tradition avait du bon, blanchir son fric dans les casinos ou par un autre biais encore plus tordu, ce n’était pas pour lui.
    
    Il referma le coffre, prit soin de ne plus rien toucher dans la maison, et sortit par la grande porte.
    
    Au volant de sa série 5, Mathias souriait, le magot dormait sagement dans le pneu de la roue de secours, ingénieusement découpé. Il s’alluma une cigarette ; en roulant bien, dans moins de huit heures il serait à Genève.
    
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    Sylvie quitta la banque en retard, une fois de plus… La nuit commençait à tomber, elle avait encore trois quarts d’heure de trajet pour rentrer chez elle. Quelle journée ! Elle bossait au guichet depuis une bonne dizaine d’années maintenant et cela commençait sérieusement à la lasser. Mais il fallait bien bouffer ! Encore une fois, sa seule consolation venait des regards des ...
    ... hommes qui se bousculaient pour avoir affaire à elle au guichet.
    
    À 37 ans, Sylvie, blonde, yeux bleus de biche, corps voluptueux, jambes de rêve, était arrivée au sommet de sa splendeur. Ses deux grossesses avaient fait enfler ses seins déjà bien servis auparavant et porté sa taille de soutien-gorge à 95D. Ajoutez à cela un fessier rebondi, rond et ferme, et de longues jambes aux mollets arrondis et aux chevilles restées fines et voilà Sylvie, la représentation typique de la bourgeoise BCBG proche de la quarantaine, un véritable objet de fantasme ambulant.
    
    Les clients ne pouvaient s’empêcher de plonger leur regard dans le décolleté de sa veste ou se pencher pour apercevoir ses cuisses régulièrement gainées de bas. C’était le cas aujourd’hui : son tailleur noir, sa jupe à mi-cuisses fendue sur les côtés, ses escarpins fermés à talons hauts et ses bas noirs, de vrais bas tenus par des porte-jarretelles, avaient provoqué de nombreuses érections, Sylvie s’en était assurée en plongeant ses yeux dans les regards excités de ses clients masculins.
    
    Elle aimait plaire. Son mari l’avait initiée à cela à un moment où elle commençait à se laisser aller, inconsciemment. Laurent avait entièrement repensé, et racheté, sa garde-robe. Il l’avait emmenée sur des sentiers où elle n’avait jamais pensé poser les pieds, comme cette fois où, après une soirée fantastique en amoureux sur Paris, il avait sciemment conduit sa voiture jusqu’à cette fameuse allée où des types se masturbaient en matant ...
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