Un rendez-vous chez le dentiste
Datte: 20/07/2020,
Catégories:
fplusag,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
extraconj,
Auteur: PapaTangoCharlie, Source: Revebebe
... ravir !
Bien entendu, elle avait fermé la veste. Elle lui ferait un peu plus tard la surprise de dévoiler son chemisier transparent.
— Merci, lui répondit-elle avec son plus beau sourire… Alors, on y va ?
— On y va, répondit-il. Et il se dirigea vers la porte.
Arrivé à la Z4, il lui ouvrit la portière :
— Si madame veut bien se donner la peine.
Pascale prit soin de bien remonter sa jupe étroite pour s’installer, dévoilant du même coup son porte-jarretelles. Puis, s’asseyant, elle écarta malicieusement les jambes, prenant tout son temps afin de laisser Antoine se rincer l’œil à loisir. Elle vit à son regard exorbité qu’elle avait réussi son effet. Reprenant ses esprits et oubliant désormais toute timidité, il parvint à dire :
— Madame a un bien joli minou…
— Tu n’es pas obligé de regarder, malotru !
Il fit le tour de la voiture, s’installa au volant et démarra le moteur. La jupe de Pascale, déjà largement remontée, laissait voir le porte-jarretelles. Il lui caressa doucement la cuisse et, sa main glissant sous la jupe, il sentit bientôt au bout de ses doigts le contact chaud et humide de ses lèvres intimes. Pour toute réaction, elle ferma les yeux, ce qu’il interpréta comme une invitation à continuer. Aujourd’hui, elle avait décidé de le laisser faire, elle ne lui interdirait rien :no limit !
Il fit d’abord glisser ses doigts de bas en haut, balayant ainsi les lèvres intimes de son amante, puis il la pénétra doucement de son index. Elle poussa un ...
... petit cri de surprise, suivi d’un long soupir de plaisir. L’intromission de ce doigt dans son vagin déclencha en elle un violent séisme. Ça faisait si longtemps qu’elle n’avait pas eu une telle sensation. Son souffle se fit court et elle se sentit partir. Il lui fallut beaucoup de volonté pour se ressaisir et dire :
— Arrête… tu m’affoles !
Ramenant son index à sa bouche, Antoine le suça avec délectation, s’enivrant de cette fragrance particulière du sexe féminin qu’il aimait tant. Il lui sembla que celle de Pascale était particulière, légère et subtile.
— Ton parfum est délicieux.
— Si on y allait maintenant, dit-elle enfin pour donner le change. Encore toute retournée, elle avait peur de céder trop vite aux avances de son bel apollon.
Durant tout le trajet, ils restèrent silencieux. Antoine conduisait d’une main, l’autre n’arrêtant pas de flirter avec les cuisses de sa passagère. Quant à elle, elle appréciait simplement le bonheur d’être en sa compagnie, le bonheur d’être caressée, le bonheur d’être désirée. Elle était heureuse.
Ils approchaient du cabinet médical, quand elle lui demanda de tourner à droite.
— Mais ce n’est pas le chemin, s’étonna Antoine.
— Je sais, mais on va passer au supermarché.
— Mais tu risques d’être en retard à ton rendez-vous.
Elle se tourna alors vers lui et lui fit un sourire malicieux :
— Mais je n’ai pas de rendez-vous !
Antoine se tourna vers elle, stupéfait :
— Tu veux dire que… tu as fait croire à ton mari…
— ...