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La Gestionnaire (3)
Datte: 19/07/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... laboure de toutes mes forces sans aucun ménagement. Le coït animal pur ! J’ai beaucoup de mal à me contenir. Elle commence à gémir, à crier de plaisir. Elle me félicite, m’encourage. — Vas-y continue ! Bourre-moi à fond comme la salope que je suis... baise, baise-moi... vide-toi... Je n’en reviens pas... Elle se livre totalement... elle se lâche et devient la femelle qui se fait saillir... Au bout d’un moment, je geins : — Je crois que je viens !! Oui, je vais décharger. Tu le veux là ? — Où vous voulez !! Pourquoi lui ai-je demandé cela ? Je me retire d’un coup sec. Je lui prends par les cheveux et m’oblige à me mettre à genoux. Je lui enfourne ma bite dans la bouche. Je lui viole la bouche. Elle me serre la bite entre ses lèvres. Je pousse à fond. Elle a un haut-le-cœur. Je continue. Je sens la jouissance arriver. Le sperme monte dans ma verge. — C’est là que je me vide ! Elle a eu le temps de voir une queue luisante de jus, de son jus. Je sépare ses cheveux. J’en fais deux couettes, une dans chaque main. Je la tiens fermement. Je l’oblige à suivre le rythme que je souhaite en tirant d’avant en arrière sur ses couettes. Je me masturbe dans sa bouche. Elle apprécie. Elle me prend dans sa main mes couilles pour les compresser. Elle veut que mon éjaculation arrive plus vite. Je me retiens. Non elle ne fera pas juter quand elle le veut mais seulement lorsque je le voudrais. Je souffle, je râle de plaisir, geins de bonheur. Je tire vers moi les deux ...
... couettes. Elle ne peut que suivre, sans la lâcher, et mon gland gicle dans sa bouche. Je lui obture la bouche avec ma grosse queue. Elle n’a pas le choix. Elle est obligée d’avaler toute ma purée. Elle déglutit avec peine. Le trop-plein coule à la commissure de ses lèvres. Elle me tète aspirant les dernières gouttes de liquide. En me regardant droit dans les yeux. Elle nettoie ma queue et me la rend luisante de salive, propre comme un sou neuf. Dès qu’elle a fini son toilettage, elle se lèche les babines, pour récupérer tout ce qu’elle a pu avaler. Elle se relève et me remercie du regard et dit : — Je vous remercie mon Maître... — Après cet intermède, tu vas m’offrir l’apéritif... — Oui, Maître, suivez-moi... Elle se dirige vers la porte. Elle n’est vêtue que de ses bas. Son cul tortille devant moi. Je ne peux retenir ma main et je lui claque la fesse. La trace de ma main reste marquée en rouge sur la chair blanche de son cul. — Pourquoi Maître ?? — Parce que j’en ai envie... — Merci Maître... Nous arrivons dans le salon. Elle m’invite à m’asseoir dans le fauteuil en face de la cheminée. Un feu brûle dans l’âtre. — Que désire mon Maître ? — Un cognac tonic... — Oui Maître... Elle se dirige vers un meuble moderne. Elle prépare mon breuvage préféré. Je regarde la pièce. Elle revient. Elle me tend un verre. Elle s’assoit dans le fauteuil en face de moi. — Je ne t’ai pas dit de t’asseoir ! — Pardon, Maître ! Elle se relève comme si ...