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La Gestionnaire (3)
Datte: 19/07/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory
Mercredi soir, je termine mon rendez-vous. Il est 18H30. La nuit est tombée. Il fait doux au bord de l’océan. J’ai repéré sur un plan la maison de Charlotte. J’arrive vers 19H15. Je lui passe un coup de fil. Elle répond aussitôt: — Maître ?? — Oui... Tu attendais quelqu’un d’autre ??? — Non bien sûr... où êtes-vous ?? — Devant ton portail... — J’arrive... Une minute plus tard, le portail s’ouvre. J’avance dans la propriété sur le chemin pavé qui conduit à la maison. Le portail s’est refermé après mon passage. La porte du garage s’ouvre. Dans les phares, je découvre Charlotte. Elle porte un trois quarts noir. Elle porte des chaussures à talons hauts noirs. Ses jambes sont gainées de noir. Aura-t-elle respecté mes ordres ?? Elle est au fond du garage. La lumière est éteinte. J’arrête le moteur de l’Audi TT. Je garde les phares allumés. Je reste assis dans le siège baquet. Charlotte me regarde, sans me voir, éblouie par les optiques au xénon. Le portail se referme. Nous sommes tous les deux en attente. Lequel de nous deux va commencer ?? Charlotte se décide. Elle porte sa main à la hauteur de sa gorge. Elle cherche. Elle trouve l’anneau du zip du vêtement. J’ai descendu la vitre de ma portière. J’entends le bruit caractéristique de la fermeture qui s’ouvre. Si les deux pans sont séparés, ils ne bougent pas. Charlotte non plus. Lentement, elle remonte ses deux mains vers le col. Que va-t-elle faire ? Que m’a-t-elle préparé pour m’exciter ? Chaque main saisit ...
... le pan du vêtement. Elle écarte les bras et entraîne le tissu. Elle est là en face de moi, dans la lumière crue des phares, nue. Elle porte des bas autofixants. Ne pas oublier de lui en faire le reproche, même si ma bite se trouve brutalement à l’étroit dans mon slip et dans mon pantalon. Elle se retourne. Le col du vêtement est à la hauteur des omoplates. Elle effectue un strip-tease. Elle laisse tomber le tissu au sol. Elle me fait admirer ses fesses somptueuses, fermes, rondes et hautes. Pas la moindre trace de cellulite, d’affaissement. Elle m’expose son cul parfait. Elle me fait face à nouveau. Elle recule et s’appuie contre le mur lisse de béton. Ses mains empaument ses seins. Elle les pétrit. Elle apporte à sa bouche les bouts qui dardent leur pointe turgescente. Elle se lèche. Ses genoux plient un peu sous le plaisir qu’elle se donne. Elle écarte les pieds et les genoux. Elle m’offre une vision idyllique du sexe féminin. Sa touffe courte et blonde ne dissimule qu’imparfaitement les lèvres de son sexe. Elles sont déjà luisantes. Les caresses ont fait leur effet et la cyprine nappe le sexe. Elle écarte encore plus les genoux. Les lèvres se séparent avec un bruit humide. Son abricot est là. Il bée. Elle lâche ses seins et pose ses mains de part et d’autre de son sexe. Elle tire pour écarter encore plus son sexe. Elle reste dans cette position, les yeux essayant de me découvrir derrière le pare-brise. Je l’entends me dire: — Je m’offre à vous, Maître adoré. Faites ...