Un nouveau nous ?
Datte: 19/07/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
volupté,
Oral
pénétratio,
tutu,
Auteur: Pitchoune, Source: Revebebe
... verra tout à l’heure.
Là tu sais que tu as gagné, tu me fais basculer sur le dos et m’embrasses tendrement, comme pour me rassurer. Mes mains cherchent le contact de ta peau, tu les agrippes et les écartes et me glisse au creux de l’oreille :
— Laisse-moi faire, ma chérie.
Tu ne me laisses pas le temps de te répondre, ta bouche est redescendue dans mon cou, tes mains s’activent à m’enlever mon débardeur. À peine enlevé, tes lèvres embrassent ma poitrine, tu me mordilles. J’ai les yeux fermés, mon souffle s’accélère. Cette fois je ne t’arrêterai pas.
Tu embrasses mon nombril, tes doigts s’attaquent à la fermeture de ma jupe et me voilà en sous-vêtements devant toi. Je vois dans ton regard toute l’envie que tu as de moi, cela me rassure. Je t’attire à moi, je veux en profiter, prendre mon temps.
Certes ce n’est pas notre première fois, mais cela fait si longtemps ! On s’embrasse, nos sens s’enflamment mais tu restes maître de la situation. Ta main se glisse entre nous et me caresse très doucement l’entrejambe, des frissons me parcourent, mon bassin va à la rencontre de tes doigts. Si tu continues tu vas me faire jouir sans rien faire de plus.
Tu arrêtes d’un coup, me regardes et souris, tu t’amuses de me savoir complètement soumise à tes gestes, à ta volonté. Heureusement pour moi tu n’es pas un vrai tyran, tu as vite fait de redescendre mais c’est ta langue cette fois qui me fait vibrer, trembler. Je ne réponds plus de rien, tu fais de moi ce que tu ...
... veux. Et là, juste avant la délivrance, tu me laisses pantelante…
Je te hais ! Tu le vois dans mes yeux. Tu vas le payer. Enfin si j’ai la patience d’attendre. Tu m’embrasses de nouveau, j’esquive.
C’est moi qui m’empare de ton cou et j’arrive progressivement à te faire t’allonger. Moi au-dessus ? J’adore cette sensation de te dominer. Sans autre forme de procès, je t’enlève ton tee-shirt, mes mains parcourent ton torse, je te sens frissonner et je ne peux pas nier la bosse qui déforme ton pantalon mais ça, ça attendra un peu. Ma langue s’en mêle, je veux te faire languir et jouer comme tu l’as fais. Mais en même temps j’ai tellement envie de toi que je sais que je vais passer très vite aux choses sérieuses. D’ailleurs mes doigts s’affairent déjà à ouvrir ton pantalon, puis s’activent à t’enlever ton boxer. Enfin l’objet de mes désirs apparaît. En grande forme mais ça ne m’étonne guère. Je te regarde dans les yeux et commence doucement à faire tourner ma langue autour de ce morceau de chair. Hum… Retrouver les sensations d’avant. Et non ! Je ne te laisserai pas savourer, même si tes mains tentent de prolonger cet instant. Je me redresse sans crier gare, remonte doucement et là, je m’empale sur toi. On ne bouge plus, on se regarde droit dans les yeux, pas besoin de mots, nos regards disent tout. Ce bien-être qui nous a envahis ne trompe pas. Tu as juste le temps de murmurer un « pourquoi ce sourire diabolique ? » que je me retire, tu agrippes mes fesses, je me débats et ...