Un nouveau nous ?
Datte: 19/07/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
volupté,
Oral
pénétratio,
tutu,
Auteur: Pitchoune, Source: Revebebe
Et voilà… Une dispute de plus…
Tu es trop occupé, moi pas assez sûre. J’ai hâte de te voir et en même temps je redoute ce moment. Chaque scénario de nos retrouvailles, du plus sage au plus inavouable, me parait improbable. Chaque scénario me tente et me tétanise.
Comment t’avouer tout ça alors que je remets tout en cause sitôt qu’on se parle ? Voilà le remède que j’ai trouvé : ce site, cette divagation et… TA LECTURE !
Tu es à ton bureau en train de jouer à l’ordinateur, je suis allongée sur ton lit, je te tourne le dos et révise. Aujourd’hui tu as décidé d’être sage et de me laisser réviser. Les partiels nous obligent à être raisonnables. Depuis le temps que je retarde notre premier câlin, aujourd’hui que je sais que tu ne chercheras pas à aller plus loin, j’en ai envie. J’essaie de ne pas y penser et de me concentrer sur mon cours de droit.
Ça fait plus d’une heure que nous n’avons pas dit un mot quand je t’entends te lever, tu me demandes si je veux quelque chose et sors de la chambre. Quand tu reviens, je pense que tu vas te rasseoir à l’ordinateur. Quel n’est pas mon plaisir quand je sens le matelas s’enfoncer un peu, à côté de moi. Tu te colles à moi, je sens ton souffle dans mon cou. Je reste concentrée sur mon cours mais intérieurement je peste : si tu te mets à jouer dans mon cou, je craque.
Tu ne fais rien de plus. Tu mets ton bras autour de ma taille, tes doigts commencent doucement à caresser mon ventre. Je continue ma lecture, tes doigts se ...
... glissent sous mon débardeur. Rester impassible, c’est tout ce à quoi je pense, ne pas te montrer que ce geste me perturbe. Tu ne vas pas gagner aussi facilement.
Voilà cinq minutes que ta main me caresse, cinq minutes que ta bouche frôle mon cou, que tes lèvres s’amusent à agacer ma peau. Tu sais à quel point je suis sensible, là-haut, et tu en uses. Comment je fais pour tenir ? Je n’en sais rien ! Jamais des révisions n’ont été si agréables et en même temps si frustrantes ! Je ne peux retenir un petit soupir de mécontentement quand tu enlèves ta main autour de moi. Cette main qui se glisse sur ma cuisse et remonte imperceptiblement ma jupe. Déjà pas très longue, celle-ci a vite fait de remonter de manière très indécente.
Tes doigts se font plus insistants, les caresses plus appuyées. Ça fait un moment que je ne lis plus, je ne fais même plus semblant de regarder mes feuilles. Je ferme les yeux et profite…
Mais une fois de plus je redoute d’aller plus loin, me ressaisis et place ma main au-dessus de la tienne pour la remonter sur mon nombril. Vas-tu comprendre ? Vas-tu insister ?
Je ne sais pas ce que j’attends de toi.
Tu sens mon trouble, cette fois tes lèvres se posent pour de bon sur mon cou et tu y déposes plein de bisous. Tu sais y faire. Je soupire une fois de plus mais de bien-être. Que c’est bon de te sentir aussi tendre, aussi doux. De savoir que tu ne vas te préoccuper que de mon plaisir. Je suis une vraie saloperie, je profite et tu n’as rien en retour. On ...