Rodages - Histoires de Sexe

Rodages

... Dans les films et les romans, les ménages à trois semblent si simples ! Je me rends compte que ce n’est pas si évident que ça. Et en plus, vous les hommes, vous êtes assez exclusifs.
— Les femmes le sont parfois encore plus, tu sais.
— Je ne peux pas te donner tort, mon Riri. Même si j’ai deux hommes pour moi, j’aurais quand même du mal à accepter que toi ou Fabrice alliez voir ailleurs. Je sais que je ne suis pas logique mais, honnêtement, ça m’emmerderait que tu aies une autre femme dans ta vie.
— Dois-je prendre ça pour une simili-déclaration, ma chérie ?
— Prends ça pour ce que tu veux, mon Riri.
— Alors je prends et je te prends !

Alors que je la renverse sur le canapé, elle rit :

— Ah toi, mon salaud, tu ne perds pas le nord ! Ah, ces hommes… tous des salopiauds !
— Non, non, simplement des adorateurs de ta si mignonne et désirable personne.
— Pff ! Imagine que vous soyez trois hommes à la maison au lieu de deux, je fais comment ? Je passerais mon temps à me faire culbuter ! Déjà qu’avec vous deux, j’ai peu de temps libre…
— Perso, je n’ai pas envie de tenter l’expérience de trois hommes : déjà te partager avec Fabrice n’est pas toujours évident ; et pourtant, c’est mon ami et ton mari.

Je commence à la dévêtir ; elle continue, se laissant faire :

— Il faut que je t’avoue un petit truc sur mon mari…
— Hum ? Lequel ?
— Avant que tu ne sois là, mon homme était déjà assez assidu : j’avais ma dose, comme on dit. Mais depuis que tu es chez nous, sa ...

... libido a été boostée.
— Dois-je comprendre que tu satures ?
— Tu dois plutôt comprendre que je déborde, oui !

Et elle rit, tout en dégrafant mon pantalon. Tandis qu’elle l’abaisse, elle continue :

— Je déborde de tout votre sperme ! C’est infernal, vous sortez toute cette quantité d’où ça ?
— Je crois savoir que les testicules sont faits pour ça, non ?
— Je sais bien. Mais pourtant vous en avez des normaux, tous les deux, pas des roubignolles de taureaux ou d’éléphants !

Plongeant sa main dans mon caleçon, elle s’empare sans vergogne de mes couilles.

— La preuve : je les sens bien dans ma main, tes coucougnettes ! Des normales. Sans doute bien remplies de foutre, mais des normales quand même.
— Avec toi, c’est normal qu’elles soient toujours bien pleines !
— Ah bon ? Pourtant tu ne te gênes pas pour les vider dès que tu peux !

Dévoilant ses seins avec délectation, je riposte :

— Mets-toi à ma place ! Tu es une exciteuse de première, tu me fais toujours bander ! Et après ça, tu t’étonnes que je sois « productif » ?
— Ah ça, je ne peux pas dire le contraire : pour bander, tu bandes ! C’est un plaisir de te voir bander ainsi… pour moi.

Il est bientôt quatorze heures ; le soumis arrive vers quinze heures. Sauf erreur de ma part, ça nous laisse un peu de temps… Alors je décide d’accélérer un peu le mouvement en la tripatouillant de partout. Elle se laisse faire, puis soudain :

— Sorry, mon Riri, mais il faut que je me prépare pour la séance.
— On a le ...