Rodages
Datte: 18/07/2020,
Catégories:
fh,
cocus,
hsoumis,
fdomine,
Masturbation
rasage,
Oral
pénétratio,
fsodo,
sm,
bougie,
fouetfesse,
piquepince,
confession,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... dégouliner le long de ma verge en feu, glisser sur mes couilles pour venir ensuite s’aplatir au sol, tandis que mon amante est secouée de spasmes et de petits cris désarticulés…
C’est ainsi que Cécile m’a relaté sa conversation d’hier soir avec son mari, là, juste après le repas du midi. Elle a un air très sérieux, elle semble vouloir mettre les points sur les i avec moi. Ce qu’elle fait tout de suite :
— Je t’aime beaucoup, mon Riri ; mais tu comprends, Fabrice a la priorité : c’est quand même mon mari.
— J’avais compris, ma chérie.
— Ah oui, en parlant de ça… je me demande si je n’ai pas fait une connerie de te laisser m’appeler comme ça.
— Tu… tu regrettes que je t’appelle « ma chérie » ?
— Oui et non. J’aime être ta chérie : dire le contraire serait mentir, mais j’ai un peu peur de te laisser sous-entendre des tas de choses et des faux espoirs.
— Ne t’inquiète pas, j’ai compris ma réelle place : Fabrice est la maison principale, moi, je suis la résidence secondaire.
— Oui, en quelque sorte.
Je vois bien qu’elle ne sait pas quoi faire à présent. Elle souhaite que cette conversation soit sérieuse, mais son sens du tactile est puissant : je le vois à ses mains dont elle ne sait pas quoi faire. Je m’approche un peu d’elle ; elle ne bouge pas.
— Bon, puisqu’on en est aux points sur les i : je suis déjà très heureux d’être avec toi. J’aurais pu être seul dans mon coin à te regarder vivre avec Fabrice et ne jamais avoir pu te dire et te prouver à quel point je ...
... t’ai…
Prestement, elle intervient aussitôt :
— Stop, Richard ! Il y a des choses à ne pas dire, même si je les comprends. Tu peux me désirer autant que tu veux, tu peux me posséder autant que tu veux ; mais, vois-tu, il y a certains mots que je ne peux pas entendre de ta bouche.
— Tu es dure… Pourtant, tu sais très bien que…
— Oui, je le sais, mais je ne souhaite pas l’entendre. Pour faire direct et cru, tu es mon amant, mon jouet sexuel, mon toy grandeur nature, mon goûter, mon petit grain de folie. Je t’aime beaucoup, je suis bien avec toi. Peut-être que dans d’autres circonstances, tu… enfin, tu vois…
Je la prends dans mes bras ; elle ne résiste pas. Peu après, ses mains glissent dans mon dos. Je lui murmure :
— Je sais déjà tout ça. Je suis déjà très, très heureux de pouvoir te prendre dans mes bras, de vivre avec toi, de pouvoir te faire l’amour. J’aurais très bien pu ne jamais rien avoir de tout ça…
— C’est vrai que tu aurais très bien pu ne rien avoir du tout.
— Bon, je t’avoue que j’aurais préféré tout avoir, mais je suis réaliste ; je ne vais pas me plaindre, je suis privilégié, et notre situation est peu banale ! Nous vivons tous les trois sous le même toit, sans nous étriper.
— Eh bien, faisons en sorte que ça reste ainsi, mon Riri.
Je la berce tout en la serrant contre moi, mais pas trop fortement ; j’ai appris à doser la force de mes bras. Elle se laisse aller contre moi, elle soupire :
— C’est peut-être moi qui suis idiote dans l’histoire. ...