1. Après une saillie (2)


    Datte: 17/07/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: fatout, Source: Xstory

    ... une foudroyante jouissance ; elle crie, geint, écarte ses cuisses le plus possible pour une plus profonde pénétration ; soudain un long feulement retentit et les yeux révulsés de plaisir : il vient sans aucun doute de toucher son point g ; ayant atteint son but, il se retire doucement, laissant béante l’ouverture de sa chatte ; c’est la première fois que je la vois aussi dilatée.
    
    La prenant par la main, il la positionne à plat ventre sur la paille qu’il a recouverte de sa chemise ; l’étalon a sans aucun doute senti les effluves et à nouveau il bande ; un peu en retrait, sa queue frappe régulièrement le fessier offert et à chaque fois, elle pousse un cri. C’est Fred qui prenant le chibre à deux mains le présente à l’ouverture béante de la chatte, mais le bout est énorme et sans doute pour ne pas la blesser, il empêche le mandrin de pénétrer d’un seul coup ; quand le mandrin écarte les chairs dilatées, elle ne peut retenir un cri de douleur ; le passage est difficile et les lèvres s’écartent sous la pression des coups de butoir du mâle en rut. Fred veille et ne laisse que petit à petit le cheval la saillir et ce n’est que quand le tiers du mandrin la possède qu’il s’écarte. Cette fois, il a le champ libre et sa queue s’enfonce profondément dans la grotte, littéralement défoncée ; écartelée, elle encaisse la saillie, hurlant sans doute de douleur, tellement il ...
    ... la dilate, puis ses cris se transforment, pour devenir des gémissements de plaisir ; il a dû déjà se rependre en elle, car à chaque coup de piston, des écoulements de semences maculent ses cuisses ; soudain elle pousse un long cri et elle s’écrie « il me remplit ses jets frappent mon col, oh oui.......
    
    Puis plus rien ; pour lui aussi la séance est terminée et quand il se retire alors qu’il éjacule encore son sperme, des flots de semences jaillissent des entrailles de Nini.
    
    Subjugués par le spectacle, nous sommes restés, tous les trois, la queue bandée, nous masturbant, surpris aussi de voir le plaisir intense qu’elle avait pris... Le cheval retiré, elle se redresse et son regard est à la recherche de ma réaction. Fred et moi, nous la prenons dans nos bras, alors que le palefrenier qui vient de juter se retire discrètement. Comme deux amants nous l’embrassons fougueusement, et nous nous dirigeons vers la maison toute proche.
    
    Que dire de la suite. Alors qu’elle nous dévoilait son plaisir intense et son envie de le refaire, nos queues bandées ont profité de ses mains, avant qu’elle ne s’offre à nous intensément, fière sans aucun doute de son exploit. Plusieurs fois dans la nuit, nous l’avons prise, aussi bien en solo qu’en double vaginale ou en double complète et c’est, épuisés, que sur le matin, nous nous sommes endormis serrés les uns contre les autres. 
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