1. Après une saillie (2)


    Datte: 17/07/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: fatout, Source: Xstory

    Avec un peu de retard, la suite réclamée ; par contre, à la demande de NINI et pour plus de facilités, c’est Jean, son mari qui prend la plume.
    
    C’est à ce moment que je suis à mon tour rentré dans les stalles ; ne la voyant pas revenir, j’ai tout de suite pensé qu’elle était avec sa jument ; manifestement je me suis trompé et c’est ainsi que j’ai découvert Nini, complètement nue, en train de caresser la queue de cet étalon, alors que deux hommes, la queue bandée, la pelotent. Je reconnais alors Fred, le maitre des lieux et un palefrenier et curieux de voir la suite, je reste en dehors de leur vue.
    
    Nini a posé la main sur la tige bandée du cheval ; celle-ci presque à l’horizontale est parcourue de soubresauts et ses dimensions m’impressionnent ; facilement 40 à50 cm de long, et au moins 8cm de diamètre ; un véritable pieu et Nini semble fascinée et attirée par l’engin ; d’autant plus que Fred la pousse doucement vers le cheval, l’encouragement à branler la verge offerte ; elle hésite puis la prenant à deux mains, elle s’active, glissant le long de la colonne à sa portée. Si Fred ne s’occupe pas d’elle, occupé à calmer un peu l’étalon, il n’en est pas de même pour le palefrenier. Ainsi penchée, elle nous offre une vue complète sur son sillon et sur sa chatte, d’où perle de la cyprine ; manifestement elle prend du plaisir et la queue à la main, il s’approche du fessier offert et sans hésitation, il se plante d’une poussée énergique en elle ; sous la surprise, elle ...
    ... pousse un cri avant de reculer son bassin, s’offrant ainsi sans réserve à la saillie.
    
    A mon tour, je suis très serré dans mon pantalon, excité de la voir se faire prendre, mais aussi très perplexe sur la suite ; j’ai envie qu’elle aille plus loin et je ne suis pas le seul manifestement car Fred l’encourage à embraser le mandrin ; sous les assauts du palefrenier qui se déchaine, elle tarde à lui obéir et Fred lui claque la poitrine qui s’agite sur les poussées de son amant. Timidement, docilement, elle obéit et se libérant de la queue qui la faisait jouir, elle se glisse sous le ventre de l’animal et dépose ses lèvres sur le bout du gland, puis elle essaie de le gober ; elle doit prendre la tige à deux mains, à la fois en raison de l’agitation de l’animal, mais surtout de la taille du membre, et quand finalement elle réussit à envelopper l’énorme gland, un flot de jute vient lui remplir la gorge ; elle s’étrangle mais elle qui n’aime pas trop avaler le sperme de ses amants, elle n’a d’autre solution que de déglutir et d’avaler. Finalement, elle le suce, glissant une partie seulement du sexe dans la bouche écartelée.
    
    Se relevant, la figure pleine de semence, elle s’accroche à Fred et elle s’applique à lui sucer la queue ; mais lui a envie de plus et la pliant pour qu’elle s’appuie sur les rebords de la stalle, il la pénètre, sa queue s’enfonçant sans aucune difficulté dans le conduit sans aucun doute bien dilaté ; la saillie est profonde, et ses cris de plaisirs résonnent ; ...
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