1. Les vacances de Julie - 6


    Datte: 16/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Markpm, Source: Hds

    ... nudistes ? nous a-t-il lancé à Julie et moi.
    
    Le silence s'est fait, et Virginie l'a regardé avec de grands yeux.
    
    — Ah bah t'étais pas là toi, a-t-il dit à sa nièce, mais c'est comme ça que je les ai trouvés. Elle était à poils, au bord de la rivière. Tu veux pas nous montrer encore ?
    
    Il s'exprimait directement à Julie, en la regardant droit dans les yeux. Virginie, à côté, a poussé un grognement.
    
    — Tonton !
    
    — Oh, quoi ? J'ai envie de voir un nichon, je peux ? Montre le nous, tiens, toi.
    
    Cette fois-ci, c'est à sa nièce qu'il s'adressait, ce qui nous laissait plutôt perplexe, voire même carrément sur le cul.
    
    — Ben quoi ? Ce serait pas la première fois vous savez. Virginie et moi on vit ensemble depuis longtemps, on est comme un couple, hein...
    
    — Tonton, arrête !
    
    — Viens plutôt là, toi ! a-t-il crié en tapant sur sa cuisse.
    
    Sous nos yeux ébahis, Virginie s'est levée et est venue s'assoir sur la cuisse de son oncle. La main puissante de Bernard a défait le nœud attachant son tablier de cuisine, puis d'un geste rapide, a tiré sur le décolleté de sa robe, laissant s'échapper un sein.
    
    — On a pas le même sang, a-t-il justifié tandis que sa deuxième main écartait un peu plus les cuisses de Virginie. Quand je vous disais qu'on s'était bien trouvés... Elle est toute à moi !
    
    Comme pour nous prouver qu'il disait vrai, il a tiré sur la robe de Virginie pour la remonter au-dessus de son string noir, si petit qu'on devinait le renfoncement de son sexe au ...
    ... travers, et à la dentelle si fine qu'on pouvait être sûrs qu'elle s'épilait intégralement. Bernard, cette fois, m'a regardé moi, et m'a dit :
    
    — Tu n'imagines pas la chance que j'ai d'avoir une femme si dévouée à la maison !
    
    — Oh que si Bernard ! lui ai-je répondu sans pouvoir m'empêcher de rire. J'imagine très bien.
    
    Je me suis alors tourné vers Julie, qui n'avait pas ouvert la bouche depuis un moment, et lui ai ordonné de se lever et de retirer sa robe. La sentant assez peu décidée à obéir, j'ai claqué sèchement sa poitrine, ce qui l'a aidée à s'exécuter. Une fois la robe tombée par terre, il ne lui restait plus que son collier de chienne, et Julie a dû soutenir le regard pervers de Bernard posé sur son corps. Pour se donner du courage, elle a rempli un verre de liqueur, qu'elle a bu cul sec.
    
    — Monsieur est un chanceux également, m'a dit Bernard. Quels sont ses talents ?
    
    Je ne savais plus trop, à ce moment, si je devais jouer le jeu de Bernard, ou y mettre fin. Mais la situation commençait à m'exciter. J'entrevoyais un millier de possibilités au déroulement de cette soirée. J'ai alors croisé le regard de Julie. Elle, pour le coup, avait l'air beaucoup moins sereine. Alors pour la rassurer, je me suis levé et lui ai fait face, me mettant entre elle et les autres. J'ai pris sa main dans la mienne, et l'ai posée contre la bosse que formait mon érection sous mon short.
    
    — Rappelle toi, lui ai-je dis à voix basse, je suis là, et tu fais ça pour moi, et rien que ...
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