1. Police polissonne (5)


    Datte: 15/07/2020, Catégories: Hétéro Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... de ça ! Cette salope ne mérite que ce qu’elle a ! EtToi, tu vas me ramener du fric, tu te démerdes t’as qu’à faire la pute ; magne-toi ou je te tue aussi ! ». Elle reste un instant tétanisée, il brandit une batte de Baseball au-dessus d’elle : « Il faut que je trouve un truc et vite, autrement il va me tuer ! » pense-t-elle.
    
    Elle court dans la cuisine, attrape le rouleau à pâtisserie qui traîne sur la table. Son père la poursuit mais il trébuche et tombe, elle se précipite. Elle pleure de rage, les yeux pleins de larmes elle tape à l’aveugle et elle cogne, cogne et cogne encore ; du sang gicle, elle prend peur. Elle sort de l’appartement et frappe à la porte de la voisine qui lui ouvre et demande ce qu’il se passe encore. La gamine lui raconte tout.
    
    « Je savais que ça finirait comme ça un jour. Ne bouge pas j’appelle les secours » lui dit la voisine.
    
    Katia prise d’une espèce de peur panique retourne vers sa chambre et voit ses parents inertes, gisant au sol. Elle tremble, fourre quelques fringues dans son sac à dos, récupère son portefeuille, s’arrête devant sa mère inanimée – dans sa tête sa mère est morte – alors elle extirpe la bague en or avec un diamant du doigt de sa mère, l’embrasse et lui susurre un « Pardon Maman ! » et s’enfuit. Elle dévale les escaliers, cours aussi vite qu’elle peut et disparaît dans Marseille et reste introuvable.
    
    Quand Marc revient de sa douche, il trouve Katia les joues trempées par les larmes.
    
    — Katia, ça ne va pas ?
    
    — C’est ...
    ... Maman...
    
    La crise de larmes dure un moment et à force de câlins Marc réussit à la calmer.
    
    — Je connais ce que tu vis, c’est parfois très compliqué ; mais ça va aller.
    
    — T’as raison, j’suis conne !
    
    — Non humaine, c’est tout ; bon, on va boire un coup et ...
    
    — Oui, t’as raison, fait péter !
    
    Elle fonce dans la salle de bains se refaire une beauté. Chose surprenante, à son retour dans la pièce, presque plus rien de son chagrin ne parait. Elle découvre Marc presque nu avec juste un boxer taille basseAddicted où le V de soutien laisse envisager un service trois pièces digne d’un colosse. Ses larmes avaient voilé son regard et elle n’avait pas remarqué auparavant cette force de la nature. En découvrant ce spectacle, elle ouvre de grands yeux gourmands devant ce corps musclé et imberbe. C’est la première fois qu’elle le voit dans cette tenue, son ventre se crispe, sa vulve s’humidifie ; elle avale sa salive et s’exclame :
    
    — Ah... Ouiii... ! Putain !... J’t’imaginais pas aussi baraqué !
    
    — Eh bien toi ! s’exclame Marc.
    
    L’envie d’étreindre cet homme d’un mètre quatre-vingt-cinq et de près de cent kilos et irrésistible, elle se précipite vers lui et le serre dans ces bras. Elle l’étreint avec force, le nez entre ses pectoraux, la douce odeur duBleu de Channel dont il s’est aspergé l’enivre presque. Elle lève le nez et regarde avec envie, ces lèvres qu’elle voudrait mordiller et dévorer ; alors elle s’accroche à son cou et se hisse. Il l’aide, elle enroule ses ...
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