Le jardin de Monsieur François
Datte: 15/07/2020,
Catégories:
fh,
grp,
hagé,
poilu(e)s,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
init,
initiatiq,
Partouze / Groupe
nature,
Auteur: Dardepil, Source: Revebebe
... couleur était toujours aussi intense. Monsieur François, nu comme à son habitude, était debout près du buisson, la regardant venir.
— Bonjour, Monsieur François.
Il lui sourit :
— Bonjour ma chérie. J’étais, une fois de plus, en admiration devant le jardin. Vous avez beaucoup contribué à sa beauté. Aimez-vous toujours passer du temps ici ?
— Oh oui, Monsieur ! C’est vraiment le jardin le plus merveilleux que je connaisse. J’adore m’en occuper.
— Et j’ai vu qu’hier vous avez adopté la moitié de nos coutumes.
— Que voulez-vous dire ? Oh ! Eh bien, il faisait très chaud, et à Rome il faut faire comme les Romains, dit-elle en rougissant.
Monsieur François éclata de rire,
— Oui, effectivement, mais ne vous excusez pas, vous êtes tellement séduisante ! Et que pensez-vous de l’odeur des fleurs ? Dans quelque temps, elle sera encore amplifiée par la chaleur.
La jeune fille se pencha vers les fleurs et les huma. Une fois de plus un sentiment étrange l’envahit.
— Bérangère, je suis sûr que vous ressentirez prochainement le besoin de vous libérer totalement. Le jardin est un endroit si agréable et si sécuritaire !
La jeune fille sourit un peu distraitement et se dirigea vers la serre. C’était encore une journée particulièrement chaude et, presque machinalement, elle accrocha son tee-shirt, son soutien-gorge et sa culotte à un vieux clou planté dans le montant de la porte et se mit au travail seulement vêtue de sa jupe en jean.
Au milieu de la matinée, ...
... elle sentit le besoin de répondre à un appel de la nature. C’était un long chemin pour rejoindre la maison et plusieurs fois elle avait pensé à utiliser l’isolement de grands arbustes le long des sentiers. Cette fois, c’est ce qu’elle fit en se coulant sous les branches. Il y avait beaucoup de place à l’intérieur, avec les branches qui pendaient vers le bas et les feuilles qui cherchaient la lumière, tournées vers l’extérieur. Il y faisait également plus frais et Bérangère apprécia le calme et la lumière filtrée qui y régnaient. Elle releva sa jupe, s’accroupit et commença à faire pipi. Les jets de liquide s’étalèrent sur le sol avant d’y disparaître pour fertiliser les racines.
Il y avait de petites trouées entre les feuilles qui laissaient passer plus de lumière et permettaient de voir à l’extérieur. L’une d’elles était située juste en face de la jeune fille et elle perçut un mouvement. Carlos était devant elle, s’occupant de la tondeuse à gazon, son dos poilu tourné vers Bérangère. Ses jambes écartées laissaient voir ses grandes couilles qui pendaient bas, détendues par la chaleur.
Son flux ayant cessé, Bérangère se pencha un peu plus mais sans se redresser ni se déplacer. Sa langue vint humidifier ses lèvres sèches pendant qu’elle attendait de voir ce que Carlos allait faire. S’étant mis sur le côté de la tondeuse, il se pencha pour régler quelque chose avant de tirer la poignée du démarreur. Maintenant elle voyait le devant de son corps et sa queue qui se mouvait au ...