Le jardin de Monsieur François
Datte: 15/07/2020,
Catégories:
fh,
grp,
hagé,
poilu(e)s,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
init,
initiatiq,
Partouze / Groupe
nature,
Auteur: Dardepil, Source: Revebebe
... l’envahit une fois de plus. Comme elle aimait ce jardin, il était toujours si paisible, il y faisait toujours si chaud.
Patricia et Rachel riaient en mettant les tables en place, leurs seins se balançant au rythme de leurs mouvements. Un arroseur de jardin tournait sur la plus proche pelouse en lançant une fine pulvérisation. Complices, les jeunes filles se regardèrent et, en éclatant de rire, elles se précipitèrent sous le jet et y restèrent pendant quelques instants, avant de revenir, des gouttelettes d’eau brillant sur leur peau.
— C’est très frais, annonça Patricia à Bérangère.
Le parfum était très fort, le soleil tapait et la jardinière eut soudain envie de faire comme les deux filles : elle serait vraiment plus à l’aise sans son tee-shirt. Comme poussée par une force inconnue, elle arracha littéralement son tee-shirt qu’elle jeta sur le banc et son soutien-gorge suivit le même chemin. Elle se leva et se dirigea vers le pulvérisateur. Non seulement les éclaboussures rafraîchirent son dos, ses épaules et ses seins, mais aussi ses jambes et jusque sous sa jupe, ses cuisses et ses fesses. Elle pivota sur elle-même pour que la brumisation rafraîchisse l’ensemble de son corps.
— Quelle bonne idée ! cria-t-elle à Patricia et Rachel.
Bien sûr, en repartant vers son travail dans le jardin, elle se sentit plutôt humide. Se faire arroser les membres par une journée chaude avait été très rafraîchissant, porter une jupe humide n’avait pas grande importance car elle ...
... sécherait rapidement en raison de la température élevée, mais sentir une culotte humide coller à ses fesses n’était pas agréable et elle se promit de l’enlever dans la serre.
Au milieu de l’après-midi, Patricia et Rachel lui apportèrent un verre de limonade et elles s’assirent pour bavarder à l’ombre. Elles parlèrent du jardin, de Monsieur François et ensuite la conversation dévia sur Carlos. Patricia et Rachel étaient désolées de l’avoir manqué car il ne venait pas tondre les pelouses ce jour-là, mais il serait au travail le lendemain. Les deux jeunes filles paraissaient très bien le connaître et Bérangère fut très étonnée par leurs descriptions plutôt lubriques du corps du jardinier. Elle eut l’impression qu’elles n’avaient pas fait que simplement le regarder.
Le jour suivant, quand Bérangère arriva dans le jardin, ce ne fut pas Monsieur François que ses yeux cherchèrent d’abord, mais Carlos. Elle avait envie de le revoir, et son rêve n’était pas de lui jeter simplement quelques regards furtifs sans qu’il s’en aperçoive, mais bien de pouvoir détailler son corps à loisir et surtout de voir son membre imposant se balancer à chacun de ses pas. Puis elle se reprit : c’était les hommes qui étaient censés lorgner les filles et non l’inverse.
Elle traversa le jardin en passant près du buisson aux fleurs orange. Bien que déjà très présent, leur parfum n’était pas encore aussi développé qu’il le deviendrait quand la chaleur du jour le ferait s’exhaler complètement, mais la ...