1. En finale !


    Datte: 15/07/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Exorium, Source: Hds

    ... en a des belles. Ça donne envie.
    
    – Sers-toi ! Fais-toi plaisir !
    
    – Faudrait pas me le dire deux fois.
    
    – Sers-toi ! Fais-toi plaisir !
    
    Theo, à mes côtés, a brusquement émis une sorte de grondement sourd, dansé d’un pied sur l’autre et déchargé. À longues saccades.
    
    Elle a décidé.
    
    – Éliminé, lui ! Hors-jeu. Carton rouge. Allez, file !
    
    Et elle a pris sa place sous la douche. Trempé, le soutien-gorge a, très vite, épousé ses seins, de tout près. Les a offerts, par transparence, pointes dressées. La culotte a moulé ses adorables petites fesses, modelé son fendu qu’elle a révélé, tout lisse, à nos yeux émerveillés.
    
    Rémi s’est extasié.
    
    – Qu’elle est bien foutue, putain ! Non, mais ce qu’elle est bien foutue.
    
    Nos regards se sont rivés à elle. Nos queues se sont dressées vers elle. Des mains se sont refermées, élancées à rythme effréné, dans un irrépressible va-et-vient. Les souffles se sont faits courts. Il y a eu des soupirs.
    
    Et ça a giclé. Ça a éclaté. À droite. À gauche. De tous les côtés. À qui mieux mieux.
    
    Chaque fois, le verdict tombait.
    
    – Rémi, éliminé.
    
    – Martial, éliminé.
    
    – Julien, éliminé.
    
    Et moi aussi… Éliminé, hélas !
    
    Il n’est plus resté que Kevin. Le dernier, le seul survivant.
    
    Elle l’a appelé, enlacé, lui a tendu les lèvres. Il est descendu, lui a piqueté le cou de petits baisers. Descendu encore. Il a libéré un sein. L’autre. A enfoui sa tête entre eux, glissé une main dans la culotte mouillée, à l’intérieur de ...
    ... laquelle il a fourragé. Ça a longuement moutonné. Elle s’est dressée sur la pointe des pieds, a renversé la tête en arrière, doucement gémi.
    
    – Quel pot il a ce salaud !
    
    On s’est approchés. Tout près. On a fait cercle autour d’eux. De plus en plus près.
    
    Il a descendu la culotte. Jusqu’à mi-cuisses. Jusqu’en bas. Sa chatte à nu. Sa chatte à nous. Il l’a lissée. Parcourue et reparcourue. S’est approprié le petit bouton. Qu’il a pressé. Fait rouler.
    
    – Oh, c’est bon, Kevin… Que c’est bon !
    
    Ses yeux. Sur nous. Dans les nôtres. Sur nos bites durcies. Ses yeux de l’un à l’autre. De l’une à l’autre. Sur nos mains qui s’étaient remises frénétiquement en mouvement.
    
    – Maintenant ! S’il te plaît, viens ! Oh, s’il te plaît !
    
    Il s’est engouffré en elle. Ils se sont élancés l’un vers l’autre. L’un contre l’autre. Furieusement. Bassin contre bassin.
    
    Et tout s’est emmêlé. Nos plaintes. Nos soupirs. Nos halètements. Son plaisir à elle qu’elle a proclamé à pleins poumons. Le nôtre, répandu au hasard çà et là. Et jusque sur les fesses de Julien le long desquelles il a lentement coulé.
    
    Tout est retombé. Tout s’est arrêté. On a lentement regagné les bancs, ouvert nos sacs de sport. Amandine a brandi, à bout de bras, en riant, ses sous-vêtements dégoulinants.
    
    – Vous ne voulez quand même pas que je renfile ça ?
    
    On ne voulait rien du tout, nous !
    
    Et même… on préférait qu’elle reste à poil. Et de loin.
    
    – Ben, tiens !
    
    Mais elle a quand même renfilé sa robe.
    
    – Déjà ...
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