Sur le GR 20 : randonnée en mauvaise compagnie (2) - Histoires de Sexe

Sur le GR 20 : randonnée en mauvaise compagnie (2)

... n’y faisait : je repensais à l’autre connard dans ma bouche.

Je me dégageai alors.

- Pardon, je suis désolé, ce n’était pas ça que tu voulais ? Je suis désolé, désolé, je…

Je me retournai et lui posai la main sur la bouche. Puis je descendis sous le duvet, vers son pénis. Arrivé à son niveau, je commençai à embrasser la peau autour, son aine, puis je me rapprochai. Je me mis à lécher ses testicules, puis son sexe. Il respirait fortement. Je le léchais avec application, en pensant à la photo, en me disant que là c’était consenti, c’était ce que je souhaitais, et que j’allais le faire parce que je le voulais. Je me répétais mentalement : « tu le veux. Tu veux le sexe de Rémi dans ta bouche. Tu veux et tu vas aimer. »

Je finis par poser mes lèvres sur son gland et le suçotai. Je l’engloutis finalement et commençai la fellation. Il y a très longtemps, au lycée, il y avait eu un petit truc sans lendemain entre Rémi et moi, plus de la découverte sexuelle qu’autre chose. On n’était pas allé plus loin que ça : il m’avait demandé de le prendre dans sa bouche, dans les WC du lycée. J’étais curieuse d’expérimenter. Ca avait été très bref : quelqu’un était entré, on avait tout arrêté en catastrophe. Aujourd’hui ...

... j’essayais de me souvenir. Ca n’avait rien avoir.

Je sentais son pénis pénétrer entre mes lèvres, lentement, effaçant la souillure de la photo. Je plaçai les mains de Rémi sur ma tête. Il m’imprima son mouvement, coulissant lentement entre mes lèvres. Au bout de quelques minutes, il commença à accélérer, puis chuchota : « Je vais bientôt venir… » Je mis alors mes doigts entre mes jambes et me pénétrai, au rythme de la fellation. Rémi accéléra. « Tu veux bien que je reste jusqu’au bout ? » D’une main je le plaquai contre moi, l’enfonçant au fond de ma gorge. Le message était clair. Au moins, il n’y aurait pas de sperme sur nos affaires cette fois… Il accéléra encore, pendant une minute, puis donna un grand coup de reins qui me fit suffoquer. J’enfonçai les doigts bien au fond de mon sexe et jouis en même temps que lui ; son pénis rendit fort heureusement mes gémissements inaudibles. Il éjacula longuement. Je parvins à en avaler une partie, le reste coula sur mon menton. Il se retira, je me dépêchai d’essuyer le sperme sur mon visage.

Je remontai vers lui. Il m’embrassa longuement, malgré le sperme qui avait tapissé ma bouche, et me retourna pour me serrer contre lui, comme au départ. Je m’endormis immédiatement.