L'avocat des cocus
Datte: 12/04/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
Lesbienne
Auteur: charime, Source: xHamster
... suis pas fou au point de me priver de femme prête à tout pour voir leur mari en tôle.
Après avoir signé mon formulaire et contrat, elle reprend sa fellation pendant que ma secrétaire, sur mon ordre, enfonce un large gode dans le sexe béant de ma cliente. Cette salope de secrétaire en profite pour lui lécher le cul en profondeur. Cela dit, ma cliente ne semble pas être offusquée par cela. C’est alors qu’arrive l’envoyée du ministère, celle qui remplace mon épouse. Elle me tend une lettre du juge d’application des peines qui affirme que ma femme ayant refusé à plusieurs reprises d’obéir voit sa peine doublée. Dans les faits, elle devra être mon esclave deux fois plus longtemps. En plus, il me demande si six mois fermes serait pour me déplaire. Un rapide coup de téléphone pour lui annoncer qu’il a mon consentement et l’affaire est bouclée. Entre mes cuisses, ma cliente a tout entendu et son pouce levé me fait comprendre qu’elle approuve mon geste.
Une idée germe dans mon esprit au sujet du mari de ma cliente, pourquoi ne pas le faire condamné à perpétuité à servir une de ces tribus dites de sauvage qui vivent autour de notre cité. Ainsi, la tribu qui hériterait de cet homme pourrait en jouir avant de s’en servir de bête de somme. Ainsi, si je joue bien ma combine, ma cliente deviendrait de facto ma nouvelle compagne. Pour cela, il me suffit de lui faire comprendre qu’elle fut, bien malgré elle, complice de son époux dans ses cocufiages. J’éjacule dans cette bouche, att**** ...
... ma secrétaire et vidange ma vessie dans sa bouche concupiscente, le tout devant le visage maculé de sperme de ma cliente. Alors, j’explique à ma cliente mon idée en omettant volontairement de lui dire qu’elle sera aussi condamnée et que je ferais commuer sa peine de prison en peine de service à domicile, donc à mon service. Je sais, dans mon genre, je peux être une véritable pute. Mais que voulez-vous, quand une femme me plait, j’ai tout ce qu’il me faut pour en faire mon jouet dans ce livre, la loi. Prenez l’exemple de ma femme, c’est moi qui l’ai poussée dans les bras de ces hommes. Il y a juste eu un os, je n’avais pas signé l’autorisation. Un petit oubli de ma part ? Non, un parfait calcul de mon cerveau tordu et l’aide précieuse de mon pote, le juge suprême. Je n’oublie mon ami, le juge d’application des peines, ni celle de la gardienne en chef de cette prison, Mademoiselle Lafarge. Celle-ci, c’est une sadique et une salope de première, j’adore quand elle s’occupe personnellement des clients que je lui envoie. Faut bien prendre son pied avec ce que la loi nous donne, non ?
Ma cliente accepte, je vois le sourire légèrement moqueur de ma fonctionnaire ministérielle. Elle sait que cette femme va devoir me servir gratuitement pendant un temps donné, disons six mois à une année, maximum. J’avoue que malgré ses rondeurs, elle n’en reste pas moins désirable. Aussi, avec l’aide de ma fonctionnaire dont je ne sais toujours pas le prix, nous couchons ma cliente sur la table de ...