1. L'avocat des cocus


    Datte: 12/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Lesbienne Auteur: charime, Source: xHamster

    Quelques temps plutôt : « Attendu que les faits sont avéré, attendu que vous avez reconnu les faits, attendu que vous avez été pris, vous et votre amant, en flagrant du lit d’adultère non autorisé, je vous condamne à un an de privation de liberté dans la prison du ministère des relations sexuelles. En outre, vous êtes condamnées à dix séances de flagellation sévère et de supplices divers que votre époux légitime aura soin de vous administré. La séance est levée. »
    
    Je me suis levé à quatre heures du matin et je me dirige vers l’une des prisons dépendant du ministère des relations sexuelles. Je vais y voir ma femme subir sa peine. Non pas qu’elle va être exécutée, mais fouettée. Je montre mon passe à la gardienne qui me conduit au troisième sous-sol. On m’y attend, le juge d’application de peines est présent. Il m’invite à m’assoir, une condamnée entre en portant un plateau avec un déjeuner complet. Elle est comme ma femme, une condamnée et porte, à cet effet, de lourdes chaines qui entravent ses membres. À genou, elle tend le plateau, elle ne bougera pas pendant que je vais déjeuner. Devant moi, l’estrade, des chaines descendent du plafond, sur un côté, tout une panoplie d’instruments servant à faire mal à très mal. La raison de la condamnation de ma femme, cocufiage sans mon autorisation. Par trois fois, elle m’a fait cocue avec deux hommes différents. Si l’un d’entre eux a été arrêté en flagrant du lit, l’autre est passé entre les mailles du filet. Cet homme, celui ...
    ... arrêté, il est là lui aussi, condamné à la même peine. La femme à genou, mon déjeuner terminé, ramène le plateau et revient quelques instants après, se mettre à mes pieds, bien en face de moi.
    
    Sur l’estrade, on amène ma femme, les yeux bandé, la bouche muselée. Elle ne porte qu’une sorte de longue chemise sur le corps. Très vite, ses bourreaux écartent ses bras pendant qu’une troisième lui arrache sa chemise. Le juge se lève, s’approche d’elle, un document à la main.
    
    - Madame, vous avez été condamnée à dix séances de supplices. En outre, votre époux nous a demandé à ce que vous soyez annelée entièrement. Accepté-vous la sentence du tribunal et avez-vous quelque chose à dire avant de recevoir les cent premiers coups de fouet ?
    
    - J’accepte la sentence et je n’ai rien à ajouter, monsieur le juge.
    
    - Greffier, prenez note que la condamnée accepte sa peine. Monsieur, voulez-vous fouetter votre épouse ?
    
    - Pas cette fois, la prochaine, celle avec son amant.
    
    - C’est entendu. Bourreaux, exécution de la première punition, niveau dix sur dix.
    
    La femme à mes pieds, sur un geste de la gardienne, ouvre mon pantalon, sort mon sexe encore au repose et se met à le sucer. Sur l’estrade, toujours aveuglée mais dépourvue de bâillon, ma femme sent encore ses pieds attachés en étant écartelé de chaque côté de l’estrade. C’est encore une femme qui va officier, elle est en train de choisir l’instrument, une chambrière. Selon le règlement, elle a le droit de choisir avec quoi elle veut ...
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