L'avocat des cocus
Datte: 12/04/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
Lesbienne
Auteur: charime, Source: xHamster
... délicieusement étroit qu’elle jouit en hurlant son bonheur.
- Je crois connaitre le montant de ma personne. Je ne crois pas que le ministre sera contre ce prix.
- Oh et à combien tu t’estimes ?
- Je vous le dirai dès que vous m’aurez promenée dans la ville…
- Nue et en laisse par exemple ?
- Comment ne pas faire autrement.
J’ai payé la note. Cela dit, je n’ai pas sorti ma carte pour payer, c’est Élisabeth qui s’est offert au personnel en guise de payement. Ensuite, dans une petite a****lerie, j’ai fait l’acquisition d’une laisse et de son collier. En sortant, sur mon invitation, en plein milieu d’une foule presque compacte, Élisabeth s’est dénudée avant de se mettre à quatre pattes pour regagner mon domicile. Sur un banc, dans un parc, sans aucune gêne, à mes pieds, elle se branle d’une main pendant que l’autre, en compagnie de sa bouche me branle.
Une semaine plus tard, nous nous retrouvons dans cette salle du troisième sous-sol de la prison du ministère de l’éducation sexuelle. Devant nous, suspendue par ses pieds écartés au maximum, ma femme. Devant son visage, je retire le bandeau. Juste en face de d’elle, Élisabeth accroupie se branle en se moquant de ma femme. Sur le sexe de ma condamnée de femme, j’enfonce une bougie, l’allume et regarde couler la cire. Certes, ce n’est pas un supplice particulièrement méchant mais j’ai décidé de suivre le programme des gardiennes. Je vais y aller crescendo. Après son sexe, c’est sur la poitrine de ma femme, sa ...
... fierté, que je pose de belles et grosses pinces. Cette fois, elle grimace, serrant les dents pour ne pas hurler la douleur qui électrise ses seins majestueux. Plus la séance avance, plus le supplice devient douloureux. Je bande de voir ma femme souffrir ainsi. Ma petite fonctionnaire me suce, me lèche mon fion. Une longue aiguille en main, je transperce les seins de mon épouse indélicate sans prendre de gant. Elle hurle, et plus elle hurle plus je bande dur. Je finis par longuement jouir, c’est si violent que je me retrouve à terre, sans plus aucune force. Les gardiennes s’appliquent à me relever pour m’assoir sur une romaine. Elles prennent le relais sur ma femme. L’une d’entre elle lui enfile des chaussures. Elle me les a montrées un peu avant, dans la semelle, au moyen d’une petite télécommande, on peut faire sortir de petites pointes particulièrement acérées. Je bande toujours aussi dur. Le cul de ma fonctionnaire en fait les frais, je le pénètre d’un coup sec, sans aucune préparation. Elle pousse un court hurlement de douleur avant de me fixer tout sourire. Quant à ma femme, ses nouvelles chaussures ne semblent guère lui plaire. Une autre gardienne plante des supports de bougie sur les seins de cette malfaisante qui hurle encore. Puis, sans faire attention aux cris de douleur de la condamnée, elle y installe de longues bougies qu’elle allume aussitôt. Enfin, on la délivre de l’estrade. Menottée, on me l’amène. Debout, face à cette indélicate, je la gifle et lui crache au ...