1. Monsieur Paul et les peintres - suite-


    Datte: 13/07/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mectôtverseau, Source: Hds

    ... encore, de plaisir.
    
    Lui s’amuse d’abord à juste passer et repasser son gros bout une bonne dizaine de fois par l’orifice, pour entendre son enivrant « ooohhh » éructé la tête en arrière.
    
    Et puis il veut l’entendre bramer. Alors quand le gland est à nouveau entré, il la prend aux hanches et l’empale d’une très lente poussée. Les grosses noix sont maintenant contre le coquelicot, et ça excite la jeune femme.
    
    - Je vais vous bourrer le petit trou Odette ! Lààà ! Comme ça !
    
    Il la bite de plus en plus fort, et a passé une main sous le ventre pour s’occuper du clitounet. Il le manipule à plusieurs doigts pendant qu’il lui laboure les reins. Elle geint ; elle va encore venir sous les :
    
    - Je vous branle et je vous encule ! Je vous branle et je vous encule ! Qui ponctuent chaque frottis de fève et chaque envahissement de goulet serré
    
    - Ooohhh ooohhh aaaaaahhhhh ! Gueule-t-elle à pleine gorge.
    
    - Vas-y petite pute, couine ! Maugrée Marilyne, mauvaise de ne pas être en première ligne.
    
    - Oh oui c’est bon ça ! Lui scande Etienne à l’oreille. Vous en voulez encore, hein ? Ca fait du bien de se faire bourrer la lunette ! Allez mon petit cœur, réclamez mon beau boutoir !
    
    - Oh oui ! Oh oui Etienne ! Oh oui j’en veux de votre gros outil !
    
    - Alors mangez-le avec votre petite bouche ! Tiens, prenez ça ! Tiens ! Tiens !
    
    Et toujours astiquant la petite perle, il la défonce méthodiquement, à coups de nouveaux :
    
    - Je vous branle et je vous encule !… Je vous ...
    ... chatouille la groseille et je vous lime l’ourlet ! Là ! Là ! Làààà !
    
    Il vient de la sentir vibrer de tout son corps, et ce que ça présageait se confirme :
    
    - Aaahh ! Aaahh ! Ouiiiiiii ! Hurle-t-elle dans de grands tremblements qui ne semblent pas vouloir s’arrêter.
    
    Cette femme est une véritable incitation à la luxure, se dit Etienne pendant qu’elle se calme. Allez, maintenant je la crème sévère !
    
    - Venez ! Lui intime-t-il en lui tenant la main pour la faire descendre du fauteuil.
    
    Il l’entraîne vers le canapé, où il s’assied. Il lui fait comprendre de venir s’agenouiller de face au-dessus de sa trique, et de descendre lentement pour enfourner le bulbe dans sa petite médaille.
    
    - Enculez-vous lentement chérie ! Faîtes durer ! Laissez-moi vous butiner les mamelons pendant que vous me baisez la bite !
    
    Il écarte à nouveau le tissu rouge sur les côtés, pour le tableau licencieux, et la prend à la taille pour rythmer la baise.
    
    Quand il ne suce pas, il parle :
    
    - Oui mon bébé, dansez ! Faites-moi monter la purée !
    
    Elle, elle a les mains sur ses épaules à lui, et s’abaisse et se relève sur le mat veineux.
    
    De derrière eux, leurs hôtes se gavent de l’apparition et la disparition du gros joujou dans le conduit anal.
    
    Mais maintenant, le restaurateur est au bord de la rupture, et il veut son apothéose ; dans sa position préférée.
    
    Il manipule sa cavalière pour l’amener dos sur son torse velu, lui fait écarter les cuisses et poser les pieds de chaque côté de ses ...