Monsieur Paul et les peintres - suite-
Datte: 13/07/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Mectôtverseau, Source: Hds
... danser cette jolie dame !
Le slow commence, et le peintre en a mis un très très long pour la circonstance.
Odette pose ses mains aériennes sur les épaules du restaurateur, et lui ses larges battoirs à sa taille. Et le tangage commence.
Protégé par la semi-pénombre, il donne des yeux partout où la peau est découverte. Et puis au fil des secondes, ses pouces sont au-dessus de la taille sur les flancs, et ses auriculaires sous la taille sur les hanches.
La peau est lisse et tiède, et il se contente pour le moment de la toucher, d’en éprouver le grain ; ce qui ne manque pas de le faire bander.
Il reste le bassin en retrait, pour ne pas effaroucher sa cavalière avec son engin libre de boxer, et pousse plus loin l’investigation. Ses paumes sont descendues sur les hanches pour s’accaparer plus d’épiderme, et caressent.
Odette lui prend les mains pour les remonter ; puis replace les siennes.
Etienne réitère bientôt son manège, mais les doigts vont plus loin vers les fesses.
Elle veut chercher de l’aide en se tournant vers ses hôtes, mais ils ont disparu.
- Où sont Marilyne et Jean-Jacques ? S’inquiète-t-elle.
- Je crois pouvoir dire sans me tromper que vous avez fait beaucoup d’effet à Jean-Jacques, et qu’ils ont dû aller baiser en pensant à vous !
Elle ne relève pas le fait que tous les deux puissent penser à elle pour s‘envoyer en l’air, et dit :
- Quand même, nous planter sans rien dire !
Le restaurateur se dit : petite, moi je vais te ...
... planter, mais en te disant plein de choses !
Elle remet à nouveau les mains d’Etienne dans une position décente, mais l’animal fait plus qu’insister. Il lui prend les poignets et les met derrière son cou de taureau. Et habilement, à mouvements tournants, il l’attire vers le dos du canapé. Et cette fois-ci, il pousse ses grosses mains qui s’emparent des fesses d’Odette, pendant qu’il vient imbriquer son nœud en plein sur la chatte.
La petite lutte l’a légèrement émoustillée, et elle s’émeut du diamètre qui s’invite dans le sillon de sa minette : c’est pas possible d’en avoir une aussi grosse ?!
Alors qu’il mime la possession en agitant son bassin, ses mains peloteuses quittent le postérieur pour caresser les flancs, avant de se faufiler sous les triangles de la poitrine pour empaumer les tétons douillets. Il les triture avec méthode pour les modeler comme de la pâte, et prend les pointes tendues entre le pouce et l’index pour les étirer. Quand ils ont pris de l’ampleur, il écarte les triangles vers l’extérieur pour dégager la chair nue.
Il reprend le cul d’une main, la moule d’une autre, et se jette sur les aréoles pour les sucer à grand bruit excitant.
- Ohhh ! Gémit la jeune femme quand il les mordille avec précaution.
Dans la pénombre, une voix féminine presque inaudible mais toujours aussi mordante, souffle à une oreille attentive :
- Elle est vraiment bonne à la nique cette petite chienne !
Odette est contre le dossier du sofa ; elle ne peut pas échapper ...