histoire 6: j'y prends goût
Datte: 12/07/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: patriciab, Source: xHamster
... excitation monte. Juste avant de gicler sur moi, il s’acharne sur ma poitrine. Il frappe vraiment fort. Le sperme arrive sur mon ventre.
J’ai payé. Il ne saura jamais ce qui m’a poussée.
J’attends donc que son patron revienne…
Le lendemain, je rentre du boulot. Une petite boite devant la porte avec « pour Patricia » comme inscription. Je rentre et, curieuse, je l’ouvre. Une paire de menottes, un masque genre celui donné dans les avions, un bâillon boule, deux pinces du modèle tarabiscoté qui serre selon la tension que l’on exerce en tirant, reliées par une chaîne, . Je cache tout ça dans ma table de nuit. Qui m’a offert ça ? si c’est Michel, il va forcément vouloir utiliser. Si c’est pas lui, je n’ai pas intérêt à en parler.
Deux jours passent. Michel part à Madrid pour trois jours. Je suis honteuse mais j’attends le retour du patron, inquiète mais excitée.
Il est 19h, le téléphone sonne. Je reconnais la voix, c’est lui. Froid comme d’habitude. Sans rien me demander il donne ses ordres.
« Dans le hall, nue, à genoux, porte de rue entrebâillée, masque sur les yeux, bâillonnée, pinces sur les tétons, mains derrière le dos, menottées, menottes attachées au radiateur ». Il me dit qu’il passerait, je n’aurais qu’à attendre.
Je vais dans le hall, j’attache les menottes comme demandé. J’ouvre la porte, me mets à genoux, mets le masque sur mon front, mets le bâillon, place les pinces sur les tétons. Ça fait un mal de chien. Je n’ai pas le choix. Je mets le ...
... premier bracelet des menottes, baisse le masque et me tortille pour fermer le deuxième bracelet. J’y arrive. Tout à coup, la panique me prend : s’il ne vient pas, je suis attachée sans moyen de me libérer. Les seins me font mal, très mal.
Le temps passe, j’ai mal aux genoux, j’ai mal au dos, je suis trop penchée en arrière, je commence à avoir froid, je sens le vent venir de la porte (pourvu qu’elle soit restée dans la même position). La chaîne qui relie les pinces est plus lourde que je ne croyais. C’est lancinant. Envie de pleurer. J’entends du bruit, des pas. Le vent devient plus fort. Quelqu’un entre. « Bien ». C’est lui qui parle, ouf. « tu vois qu’elle obéit ». Il n’est pas seul. Je sens qu’il prend la chaîne, il tire, je gémis de douleur. Il m’enlève les pinces. Le sang revient dans les tétons, c’est horrible.
Il me passe une ceinture (ça y ressemble) autour du cou. Il détache les menottes du radiateur. « Debout ». J’ai les jambes ankylosées mais comme il tire fort sur la ceinture, m’étranglant à moitié, j’arrive à me mettre debout.
« Qu’en penses-tu ? » demande-t-il à l’autre. Grognement approbateur. Il m’enlève le bâillon. Ma salive a coulé jusque sur mon ventre. « On dirait qu’elle a des marques » fait-il remarquer. L’épisode de la nuit est encore légèrement visible. « Ton mari t’a battue ? » je ne peux que répondre oui. Je n’ai pas envie d’expliquer que c’est moi qui l’ai demandé. Il pourrait avoir des idées.
On m’entraîne vers la chambre. Ils ont forcément ...