histoire 6: j'y prends goût
Datte: 12/07/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: patriciab, Source: xHamster
Il y a quelques jours
Michel travaille tard ce soir. Je suis seule à la maison. On sonne. Je vais ouvrir. Son boss. Il sait que Mich n’est pas là, forcément. Il entre, comme chez lui.
Il s’assied et me regarde, goguenard. « Alors, tu te déshabilles ? » Je reste immobile. « Allez, tu sais que t’as pas le choix, à poil ». Je sais qu’il a raison. Je me déshabille le plus froidement possible. Pas de raison de lui faire plaisir.
« Couche toi par terre, écarte les jambes, ouvre ta chatte ». Les ordres suivent. Je suis furax. J’exécute l’ordre. Le carrelage est froid. Il s’assied sur une chaise placée entre mes jambes. Je sens la pointe de son soulier qui vient buter sur l’entrée du sexe. « Branle-toi sur mon soulier ». L’horreur. Je me redresse un peu sur les coudes et j’essaie d’animer mon bassin de quelques mouvements. Le soulier est très pointu, il parvient donc à pénétrer quelque peu. Quant à obtenir un résultat comme ça, forget it !
Agacé du fait que je m’agite sur sa godasse sans résultat, il m’ordonne de me mettre sur le dos. Il est toujours assis au même endroit. De la pointe de son soulier il ouvre la vulve et commence à écraser le clito, tournant doucement de la semelle dessus. C’est horrible mais je ressens beaucoup plus comme ça. Il le remarque forcément. Il m’ordonne de me pincer et tordre les tétons. Je suis vaincue. L’orgasme arrive, plutôt violent. « Debout ! Penche toi, prends tes genoux dans les mains ». Debout, au milieu de la pièce, il me laisse un ...
... peu ainsi avant de me prendre par les hanches et de s’enfoncer. Il va vite et lâche tout rapidement. Il s’en va sans dire autre chose que « à bientôt ». Je décide de me taire. Mich serait catastrophé de savoir ce qui s’est passé.
Mon mari rentre tard, il est crevé. Nous mangeons un morceau sans parler beaucoup. À peine au lit, il dort. Je me sens coupable de n’avoir rien dit mais aussi d’avoir pris un plaisir dans une situation anormale. Je voudrais me punir.
Vers deux heures, je n’y tiens plus. Je fouille dans le tiroir de la table de nuit et je trouve ce que je cherchais : une ceinture en cuir tressé. Je réveille doucement mon homme, très câline. Je lui tends la ceinture en lui disant de me fesser. Il a l’air un peu éberlué, encore mal réveillé. À genoux, nu à côté de moi, je regarde sa queue et je me demande si me fesser le fera bander. Premier petit coup sur les fesses. Je lui crie que s’il est trop fatigué, il n’a qu’à dormir plutôt que de faire semblant. Pfff, là, ça claque vraiment. Coup après coup. Sa queue grossit à vue d’œil. La raclée est sévère mais c’est ce que je veux.
Je compte les coups. On arrive à cent, j’ai les fesses en feu, l’impression que la peau va se décoller. Je me retourne sur le dos. Surprise, je ne dois rien demander, il continue. Sa queue ballotte dans tous les sens. Il n’épargne rien, du haut des cuisses aux aisselles, ça claque. Je lui prends le sexe en main. Les mouvements qu’il fait en frappant le font se masturber naturellement. Son ...