1. La revanche du peuple toucouleur


    Datte: 12/07/2020, Catégories: fh, couleurs, bizarre, vengeance, contrainte, BDSM / Fétichisme fantastiqu, sorcelleri, fantastiq, Auteur: Renaudnnn, Source: Revebebe

    ... statues étaient souvent creuses, emportant en elles une charge magique – le bilongo – qui relie l’objet à des âmes aspirées.Comme nous en étions convenus, pour limiter tes sursauts lors de la séance je t’ai attachée en croix sur la table ronde et j’ai couvert tes yeux d’un foulard pourpre pour que le gland majestueux de la statue ne t’attire pas et ne casse ainsi le lien ténu qui allait nous relier à Loreline. J’ai bien senti, en passant ma main doucement sur ta belle toison sombre, que ton plaisir n’était pas loin. Être attachée, à ma merci, et plus encore dans une expérience interdite de communication avec l’au-delà t’excitait. Ton sexe luisait déjà et tachait un peu la feutrine de ma table de jeu.Très vite, l’idole a pris vie entre mes mains, et j’ai pu échanger avec les esprits qui se manifestaient en retenant les lettres qu’ils m’indiquaient sur ton corps. Je ne sais pas qui, de Loreline ou oncle Alfred, s’exprimait le plus. J’ai même parfois cru comprendre d’autres esprits, plus lents à communiquer, s’exprimant avec des tournures de phrases complexes, comme si le français n’était pas leur langue natale. J’ai compris qu’oncle Alfred était en partie responsable de la disparition de Loreline, et que des forces magiques toucouleures étaient en jeu, comme si une malédiction avait été lancée sur mon oncle lors de la campagne au Haut Sénégal et qu’il n’avait rien trouvé d’autre que de sacrifier une jeune fille pour être enfin en paix. J’ai eu tout au long de la soirée du mal à ...
    ... contrôler la statuette.Quand les esprits se mettaient à parler tous ensemble, j’avais l’impression que la verge de bois gonflait plus encore et que le gland était attiré par ton entrejambe. Je devais alors lutter pour la retenir de te pénétrer. Il faut dire, de plus, que tes petits gémissements continus étaient tellement expressifs que je me suis surpris parfois à fixer cette belle grotte si chaude comme si elle essayait aussi de m’avaler.J’ai suffisamment recueilli d’informations pour ce soir, et quand je t’ai lentement détachée et que tu t’es lovée dans mes bras, vidée de toute force, j’ai compris que nous n’étions pas très loin de libérer Loreline. Je t’ai accompagnée jusqu’à la porte de la villa, te laissant le soin de monter doucement l’escalier vers ta chambre.Je te laisse ces quelques mots pour que tu puisses prendre connaissance de notre avancée.Je t’embrasse.Ton Édouard____________________Édouard,J’ai mal. J’ai froid. Il me déchire le ventre. Il irradie dans toute mon âme. Il efface mes souvenirs, mes pensées. Il m’endort petit à petit. Ma peau se fripe. Qu’as-tu fait lors de notre séance ? J’ai le sentiment diffus qu’un sexe m’a lentement pénétrée, déchirant mon hymen, alors que tu ne m’as rien laissé de tel dans ta lettre.J’ai essayé d’effacer les lettres qui recouvrent mon ventre, et j’ai découvert avec horreur qu’elles étaient maintenant gravées dans ma peau, dans ma chair.Édouard, je souffre, et en même temps j’ai l’impression d’avoir trouvé une nouvelle raison ...
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