1. Julie et la chaleur d'un soir de plage


    Datte: 12/07/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, extracon, inconnu, gros(ses), poilu(e)s, vacances, plage, voyage, toilettes, fdomine, Oral préservati, pénétratio, uro, Auteur: CorentinKitten, Source: Revebebe

    ... gâcher.
    
    Il connaissait déjà mes fesses mais pas encore mes seins. Et pas non plus mes intentions pour la suite (et la fin). Je me résolus à ne pas faire traîner le suspens. Toujours collés l’un contre l’autre, ma main caressa sa barbe un peu drue, puis son visage mince et ses cheveux courts et repassa sur ses lèvres. Il voulut avaler l’un ou l’autre doigt qui passait mais je fermai ses yeux à sa place.
    
    Pressant son torse en partie caché par ses poils, je descendis vers ses fesses rondes et un peu molles, les pressai au passage puis revins vers mon corps et rejoignis ses mains à lui. Ma gauche se serra dans sa droite et ma droite conduisit sa gauche jusque dans mon haut de bikini. Et je lui fis prendre ce qui se cachait là depuis le début, un préservatif dans mon haut de maillot noir dont l’emballage ne demandait plus qu’à se déchirer pour libérer son objet.
    
    Sa main trembla un peu et toucha durement le sol en même temps que ses yeux s’ouvrirent de plaisir et d’attente comblée. C’est le moment que j’avais choisi pour arracher mon haut et libérer ma poitrine imposante. Il la prit dans sa bouche et me suça chacun des tétons, le gauche d’abord, le droit ensuite. Puis ses mains vinrent se rapprocher lentement, comme si elles avaient peur que cet objet de désir se cache à nouveau dans le cas d’un empressement trop grand, et elles caressèrent avec beaucoup de confiance ma poitrine si généreuse.
    
    Pendant ce temps-là, je sentais que monsieur avait déjà récupéré de sa ...
    ... première éjaculation et qu’il semblait presque prêt à m’honorer profondément. Oh oui, mais moi aussi j’en avais envie, et ces préliminaires courts mais intenses avaient rendu mon chemin de l’amour plus lubrifié que jamais.
    
    — Au fait, c’est Julie, moi.
    
    Pour la première fois, j’étais gênée de me rendre compte qu’on se donnait du plaisir sans même connaître nos prénoms respectifs. Oui, je suis parfois bizarre, au regard de ce que je venais d’accepter précédemment.
    
    — Et moi Édouard… mais je préfère Ed tout court.
    — Pas comme ta bite !
    — Elle n’a pas de nom…
    — Laisse tomber, Ed.
    
    Ce n’était pas le moment de faire de l’humour… Je pris alors le préservatif, et tout en embrassant Ed je déchirai l’emballage pour le retirer et espérer qu’il serait du bon côté, car je mourais d’envie d’agiter mon bassin au-dessus du sien.
    
    Oubliant toute retenue, je lui indiquai de se coucher sur le dos par terre au milieu de la pièce. Je lui mis ce putain de préservatif, qui glissa parfaitement, et enfournai sa bite en moi pour commencer un mouvement de va-et-vient à un rythme volontairement un peu trop lent pour lui, tout en maintenant mes mains sur ses bras pour lui faire comprendre que je commandais à ce moment précis.
    
    Quand il n’en put plus et que je voulus passer à une phase plus active et brutale, j’enlevai mes mains et changeai de position pour qu’il puisse me prendre à quatre pattes. Avec, comme toujours, ce moment gênant au moment où il faut retrouver le trou, il me prit au niveau ...
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