1. Julie et la chaleur d'un soir de plage


    Datte: 12/07/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, extracon, inconnu, gros(ses), poilu(e)s, vacances, plage, voyage, toilettes, fdomine, Oral préservati, pénétratio, uro, Auteur: CorentinKitten, Source: Revebebe

    Ces vacances sont un peu spéciales pour moi : j’inaugure à la fois la liberté de partir sans mes parents et ce petit journal dans lequel j’ai envie de raconter tous mes émois à venir ; enfin, en espérant qu’ils seront au moins au nombre de… un.
    
    À dix-neuf ans, je ne suis plus pucelle. Et c’est tant mieux, le plus dur est fait. Je ne veux pas être regardée comme si j’étais une enfant innocente et sans expérience. Je n’en ai pas beaucoup, certes, mais je n’en suis plus dépourvue. Et c’est bon pour la confiance.
    
    J’ai acheté un nouveau maillot deux-pièces. Adieu le une-pièce mettant si peu en valeur mes formes rondelettes. Mes parents, ma famille, ne seront plus là pour me faire leurs remarques désobligeantes. J’ai envie de me sentir un peu crade, voire carrément salope. Me lâcher, avoir du plaisir et dominer ces hommes en leur permettant de sauver l’apparence.
    
    De toute façon, étant Belge, ce ne serait vraiment pas de chance de faire le chemin jusqu’en Vendée et de croiser encore un compatriote. Vous, les beaux Français, j’espère que vous aimez croquer de la Belge ; moi, je dévorerai vos frites bien dures (j’ai un peu honte, ce n’est pas très subtil, mais je ne suis de toute façon lue par personne).
    
    Au fait, je ne me suis pas présentée : Julie. Ou « Djoulaille », comme disent mes amies quand elles sont excitées. D’ailleurs, je ne vous les ai pas présentées non plus :
    
    Je me sauve, sinon je vais être en retard. On se retrouvera (probablement) le premier soir des ...
    ... vacances. J’espère qu’il y aura du croustillant.
    
    Trajet rapide, mais pas autant que le temps qu’il nous a fallu pour aller à la plage après avoir déposé nos affaires vite fait bien fait à l’hôtel en face de la gare.
    
    Arrivée un vendredi à dix-huit heures ; il faisait encore très bon. Certains étaient sûrement là pour leur dernier soir. La plage était remplie du mélange entre ceux qui arrivent et ceux qui repartent. C’est peut-être le meilleur moment du séjour pour faire ce dont j’ai envie : il faudra me lancer sans trop réfléchir et sauter directement dans le bain, si j’ose dire.
    
    Saskia s’est dirigée en premier vers l’emplacement qu’elle estimait le plus approprié. S’il contient assez de place pour nous quatre, je râle un peu car nous sommes en retrait. Et si nous avons une plutôt belle vue, c’est aussi plus difficile d’être "matées". Ni une, ni deux, j’ai retiré toutes les couches de vêtements pour me retrouver aussi vite que possible en petit maillot bikini et courir vers l’océan presque transparent des Sables d’Olonne. Marie et Ségo me suivirent tandis que Saskia restait à surveiller nos affaires, plus intéressée par son nouveau livre de vampires que par la baignade autre que celle du soleil.
    
    À peine plongées dans l’eau, nous n’avons pu nous empêcher de pousser un grand cri, l’eau n’étant pas aussi chaude que le sable. Cette pénétration bruyante aura au moins eu le mérite de braquer tous les regards sur nous l’espace d’un instant, et de faire rire mes deux comparses ...
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