1. Julie et la chaleur d'un soir de plage


    Datte: 12/07/2020, Catégories: fh, hplusag, jeunes, extracon, inconnu, gros(ses), poilu(e)s, vacances, plage, voyage, toilettes, fdomine, Oral préservati, pénétratio, uro, Auteur: CorentinKitten, Source: Revebebe

    ... connais la monotonie – pardon, la monogamie – depuis quelques années sans doute. Alors, un petit peu de flirt, de séduction, de caresses consentantes et agréables, ça ne tuera personne. Cela ne peut pas te faire grand mal. Et même pour elle, ton couple n’en sortira que plus fort, crois-moi.
    
    La réponse que je n’attendais pas vint alors sans que je ne sache s’il mentait pour se donner bonne conscience, me libérer de toute barrière morale ou… s’il disait tout simplement la vérité.
    
    — Mon épouse et moi sommes libres. C’est ce que nous avons toujours convenu. Elle ne m’interroge pas, je ne l’interroge pas, mais tout doit se faire discrètement, c’est tout. Mais, pour cette année, c’est sans doute trop tard. Je quitte la plage dans une heure max.
    
    Et il ajouta, pour faire le fier :
    
    — Et là, pour être franc, je ne te courais pas après ; c’est le pur hasard si nous nous revoyons. J’allais seulement vider ma vessie aux toilettes.
    — C’est évidemment le plus pur des hasards si nous nous sommes croisés, dis-je, un peu piquée au vif. Maintenant, rends-moi ce service et indique-moi où sont les toilettes, car je sens que je dois également m’y rendre.
    
    En marchant, je remarquai que ma jambe me grattait. C’était rouge et devenait un peu plus douloureux à chaque pas. La méduse était la coupable toute désignée ! Il me dit que le seul remède vraiment efficace pour désinfecter était de faire pipi dessus, ce à quoi je lui rétorquai qu’il était, en tant qu’individu mâle, le mieux ...
    ... placé pour bien viser et être, encore une fois… mon sauveur. Ce qu’il dit en terminant la phrase à ma place alors que nous nous retrouvions justement en face du seul endroit possible pour un moment intime sur cette plage.
    
    Heureusement, personne n’attendait avant nous. Et personne ne regardait non plus vers nous. Le temps ou la possibilité d’hésiter auraient été de grands ennemis.
    
    La porte s’ouvrit. Je m’engouffrai en même temps que lui et m’empressai d’appuyer sur le bouton rouge qui transformait cet espace pas très romantique en un endroit où nous pouvions désormais tout faire sans crainte. Ça devint sérieux
    
    J’eus un vrai rire de satisfaction et le regardai avec un mélange d’air narquois et de défi. Je savais qu’il était à moi et qu’il n’opposerait pas de résistance. Mais d’abord il fallait s’occuper de ma santé, donc je lui suggérai seulement de tuer le venin de méduse au plus tôt. Il abaissa son maillot boxer moulant, me permettant d’avoir vue sur ses petites fesses bien rondes puis se retourna vers moi. Il me demanda de mettre ma jambe au-dessus de la cuvette et visa maladroitement ma blessure. L’incongruité de la situation me fit rire à nouveau, même si je me sentais sale. Mais je pense qu’il nous fallait ça à tous les deux pour nous lâcher vraiment.
    
    Je descendis le bas de mon maillot lentement en le fixant langoureusement du regard.
    
    — Pou, pou, pi-dou, hou…
    
    Cette fois, c’est lui qui ne put s’empêcher un petit rire, mais je me mis dos au mur et il se calma ...
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