1. Say'in my song


    Datte: 11/07/2020, Catégories: fh, hplusag, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, pénétratio, fdanus, aliments, mélo, Auteur: Lise-Elise, Source: Revebebe

    ... et c’est celle-là qui va te le donner. Mais si tu ne l’enregistres pas, je te le promets, dans moins de deux ans tu feras des galas dans des maisons de retraites.
    — C’est du chantage.
    — Non. C’est du réalisme. Tu n’es rien, Cendrine. Pas encore.
    
    Elle respire fort. Il s’est, petit à petit, appuyée sur elle. Jamais elle ne l’a connu dominant. Distant, oui. Fuyant, même. Mais jamais, à aucun moment, il n’a mené le jeu. Et là, elle est prise entre lui et le mur, elle sent la boucle de son pantalon s’imprimer sur son ventre. Elle comprend qu’elle a perdu. Il le sait aussi. Il la lâche, effleure sa poitrine, goguenard.
    
    — Je te violerais bien sur place, ma tigresse, mais je compte bien te faire chanter d’abord.
    
    Elle ne sait si elle veut le gifler ou le forcer à la prendre. Elle n’a pas le temps de choisir, l’ingénieur du son s’impatiente.
    
    — Non, arrête, plus haut, continue…
    — Tu reprends…
    — Merde, je peux pas reprendre ! C’est la même chose sur cent-vingt huit mesures. Marc, admet que c’est mauvais, c’est tout.
    
    Ce prénom, Marc, c’est une insulte. Son excitation et complètement retombée, elle tourne cette rythmique absurde depuis quarante minutes sous le regard lassé des techniciens.
    
    — Mets-y un peu de cœur, zut.
    — On ne peut pas y mettre de cœur. C’est vide, c’est tout.
    
    Elle en sanglote presque. Ils travaillent sans relâche depuis trois mois, avec de rares pauses conditionnées par des apparitions en public de l’un ou de l’autre. Marc ne répond pas. Elle ...
    ... est prête. À la limite. Il ouvre la porte, bravant l’ampoule rouge qui interdit l’entrée. La prend dans ses bras. Fait un signe vers la cabine. Le répète, plusieurs fois, avant d’être compris. Cendrine, contre lui, se repaît de son odeur. Elle réagit à peine quand la lumière s’éteint. Ils sont dans la pénombre, à peine éclairés par les boîtiers de secours.
    
    Il la caresse avec des mouvements amples, apaisant. Il sent la respiration de Cendrine devenir plus régulière, puis s’accélérer à nouveau. Il précise ses caresses, sans les appuyer. La façon dont la jeune femme tend ses fesses est plus qu’explicite. Il lui chuchote à l’oreille :
    
    — On reprend ?
    
    Elle fait un geste de dénégation. Elle sait ce qu’il est en train de faire. Elle a compris très vite ce qu’était cette ritournelle. Elle ne veut pas. Elle n’en a pas le courage.
    
    Il cherche, à travers le pull, à attraper ses tétons. Y arrive sans peine, tant ils sont tendus. Elle gémit.
    
    — Non…
    — Pas tout à fait dans le ton, ma chérie…
    — Salaud !
    — Je peux arrêter, si tu veux…
    — Non !
    — C’est mieux…
    
    Il a empaumé le sein droit de Cendrine, posée son autre main sur le jean, et le frottement du tissu provoque un spasme chez la jeune femme.
    
    — Alors ?
    — Salopard !
    
    Il accentue légèrement sa pression, puis lâche la chanteuse et recule de deux pas.
    
    — Non !
    — On reprend quand tu veux, Cendrine. Ça ne dépend que de toi.
    — Ordure !
    — Je sais. Elles le disent toutes un jour ou l’autre. Il s’approche d’elle à la ...
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