La mère (1)
Datte: 10/07/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: Jieff, Source: Xstory
... plus transparent de leur vie passée. Comme parfois, il s’agissait de frou-frou de jeunesse, le spectacle pouvait me ravir. Ainsi une femme de cent vingt kilos me montra des photos d’elle en maillot de bain, lorsqu’elle avait trente ans et en pesait à peine la moitié. Aujourd’hui, sous le tissus léger de sa chemise et par sa robe de chambre savamment entrebâillée - quelle coquine - je remarquais, entre les plis de sa peau fripée, ses lingeries d’époque. Non, à mon âge, je ne me moquais plus de ces seins boursouflés, de ces tétons autrefois fiers demandant à sortir de fanfreluches devenues objets de torture. Ces viandes avides me faisaient encore bander dur et facilement, c’était l’essentiel. J’avoue aussi que j’aimais ces touffes de poils, noirs, gris ou blancs qui apparaissaient par magie. Les jeunes poupées dans leur hâte d’être en plastique, se rasent. Ces connes ne savent pas qu’elle font perdre à l’humanité tout le sel de sa dimension animale.
A quand les chien-chiens-chow-chow robots en plastique pour poupées Barbie écervelée ?
Plusieurs fois je me cachais dans la chapelle pour surprendre et écouter ce que cette dinde avait à confesser. Elle s’y rendait chaque mardi. Je voulais tout connaître des expressions et des rituels du prêtre. J’avais ma petite idée en tête.
Ce salaud s’il la vouvoyait en public, l’appelait Nini dans l’intimité de la confession. Je ne m’y attendais pas.
Alors j’entendis des choses incroyables. Elle raconta ses rêves, ses orgasmes de ...
... nuit, elle s’imaginait violée par nous autres les jardiniers un par un, puis tringlée par les trois ensembles.
— Mon père, ils me pénétraient la chatte et le cul en prenant tout leur temps. J’avais ces énormes bites tour à tour dans la bouche et dans le cul, entre mes fesses. Elles étaient partout sur moi, elles giclaient leur foutre sans interruption, dans ma bouche, sur mes nichons. Ils me frappaient les seins, me les écrasaient, me tordaient les tétons. Un moment les deux jeunes m’ouvraient le cul en m’écartant de force les fesses de leur quatre mains, puis Momo m’enculait en hurlant, me traitant de grosse truie, de salope, de résidus de chiotte. Des insultes inimaginables pendant que son énorme machin me fouaillait le fond des intestins. Il me disait qu’il voulait aller jusqu’à ma merde, gicler et pisser dans ma merde. " Je veux entendre tes boyaux bouillonner de mon foutre, de ma pisse."
— Je sentais mon cul fuir et je pensais que je n’avais pas de culotte, que j’allais couler par terre, que tout le monde pourrait me voir et - quelle horreur - que je serais chassé de la résidence…. Mon père, implorez dieu pour moi, le démon me visite trop souvent, je ne sais plus quoi faire.
J’avais du mal à croire à cette franchise que j’entendais, le secret et l’obscurité du confessionnal ôtait à Nini toute retenue de langage. Elle ne parlait plus au curé, elle rêvait tout haut. Excité au plus haut point par ces paroles sans détour, la bite raidie et en fusion, je comprenais à ...