1. Et cela ne pouvait être fait que par nous deux


    Datte: 10/07/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: François Barto, Source: Hds

    ... de l'usine, les garimpeiros, les enfants, les commerçants, les travailleurs informels, les prostituées, bref, tous ceux qui cherchaient quelque chose à faire. Avant d'arriver au bar, nous avons été approchés par un miché. Sans honte, il a affert ses services, affirmant qu'il aimerait satisfaire deux hommes. Et si nous voulions d'autres gars, il pourrait nous présenter l'un de ses amis. Et sans que ja dise rien, François a gentilment refusé l'offre pour nous. Cependant, quelque chose a été révélé. Le garçon a dit beaucoup de ce qui a été gardé dans notre silence.
    
    Nous avons à peine touché à la nourritue indigeste. Il n'y avait vraiment pas de bonnes options. Et pour couronner le tout, nous avons été surpris par la nouvelle que nous devrions partager une chambre. Les logements étaient surpeuplés et il n'y avait pas d'hôtels dans ce village. Avant de terminer la troisième bière, avant d'entendre un autre indice de la directrice du logement, François s'est excusé et s'est retiré pour se reposer. Avec la tête à demi basse et le visage rouge, il me fit signe au revoir de nouveau. Ses mots ont à peine quitté de sa bouche mais m'ont touché. J'ai dit au revoir simplement. J'ai eu une autre bière et je me suis retiré une heure plus tard.
    
    Lorsque je suis entré dans la chambre, je pourrais admettre que quelque chose dans mon collègue retenu mon attention. Une attraction apparemment diffuse, peut-être parce que la situation au travail m'avait jeté dans l'empire du désir. J'ai ...
    ... regardé l'homme allongé sur le lit. C'était un homme mûr. Bien qu'il semblait avoir environ 60 ans, il était vigoureux. Il ne portait que sa petite slip. Je pouvais voir que ses cheveux gris étaient éparpillés sur sa poitrine forte. Son ventre était en harmonie avec le tout. Ses jambes épaisses augmentaient la sensation de vigueur qui émanait de lui. Même sans regarder directament, je pouvais voir le volume que sa slip recouvrait. Mon collègue avait un queue épaisse et un scrotum volumineux.
    
    Pendant regard le volume dessiné sous sa slip, j'ai enlevé mes vêtements. Parce que je pensais qu'il dormait, je n'avais aucune pudeur à être nu. Et touchant ma queue légèrement réveillée, je me dirigeai vers la salle de bain. J'ai laissé la porte de la salle de bain ouverte. Et sous la douche, je pouvais voir une partie du corps de cet homme. Juste à partir de la taille. La vue de ce volume m'a rendu corné. Il y avait quelque chose de serré et vivant à l'abri sous ce sous-vêtement. Une force prótégée par une douceur virile. Je ne pouvais pas me contrôler. Ma queue devenait de plus en plus dure. Et l'eau qui a traversé mon corps n'a pas apaisé cette dureté. J'ai commencé à apprécier le simple geste de passer du savon sur mon corps. Et j'ai fait glisser ma main savonneuse sur mes mamelons frissonants. Et de la même façon j'ai touché mon ventre, ma queue et mes fesses. J'ai senti mon anus trembler et se resserrer. Et j'ai commencé à masser mon anus avec mon doigt glissante. Et instinctivement, ...
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