1. Pagaille !


    Datte: 10/07/2020, Catégories: fh, ff, jeunes, couple, extracon, Collègues / Travail fépilée, froid, BDSM / Fétichisme Oral préservati, jeu, champagne, Auteur: SophieF., Source: Revebebe

    ... quelque chose.
    
    Nous sommes vite toutes les quatre en petite culotte. Nous passons ensemble la plus grande partie de nos journées mais c’est la première fois que nous nous voyons en tenue légère. Nous en rions, un peu bécasses. La neige doit nous exciter.
    
    — Je vais mettre nos sous-vêtements dans le lave-linge, on les aura tout propres demain matin pour aller bosser… Virginie, tu as les fesses humides ! Tu as mal, depuis ta chute ?
    — Un peu quand même.
    — Il faut te les masser. Tu veux que je demande à Mickaël ?
    — Tu rigoles ou quoi ? C’est ton copain.
    — Et si j’ai envie de te le prêter, mon copain ? Tu es contre ?
    — C’est vrai ? Oh, mais dans ces conditions j’suis pas contre, mais tout contre !
    — Alors, on les allume, les mecs ?
    
    Un rire unanime me répond. Je hurle :
    
    — Mickaël, viens ! Et toi aussi, Charles-Henri, tu ne vas pas rester tout seul dans le salon.
    
    Ils rappliquent. Aucune d’entre nous ne fait sa mijaurée en tentant de dissimuler quelque chose, au contraire. Devant ces quatre filles en petites culottes, Virginie en train d’enlever son soutien-gorge et Bénédicte déjà presque nue, Charles-Henri siffle comme un prolétaire :
    
    — Oh ce spectacle !
    — Tu en vois autant sur n’importe quelle plage.
    — Ah mais là, c’est autre chose. Je n’ai pas l’habitude de voir mes collègues dans cette tenue. Mais c’est très loin de me déplaire ! Vous êtes absolument ravissantes !
    — Faites comme si nous n’étions pas là, les garçons. Charles-Henri, Mickaël te prêtera ...
    ... bien quelque chose, enlève donc ton pantalon tout mouillé.
    
    Il le fait, mais en nous tournant le dos. Son boxer noir moule agréablement ses fesses musclées. Mickaël fouille dans la partie de l’armoire que je lui réserve et en sort un tout petit slip mauve, que Charles-Henri considère avec amusement.
    
    — Tu veux que je mette ça ?
    
    C’est moi qui lui réponds :
    
    — Tu seras mignon comme tout ! Tu sais que l’eau m’en viendrait bien à la bouche, si je n’étais pas une fille sérieuse… Mais avec ta chemise par-dessus ça fera un peu ridicule, montre-nous aussi donc ton dos et tes pectoraux. Tu vois, Mickaël est déjà torse nu, lui. Ta chemise passera dans le lave-linge avec nos sous-vêtements.
    
    Je sors de l’armoire le souvenir d’Alphonse.
    
    — Ça te dit, Anne-Laure ? Essaie-le, je suis sûre qu’il t’ira très bien. Bénédicte, une chemise de Mickaël ? Mickaël, donne à Bénédicte ta chemisette bleue. Et arrête de regarder bêtement les cuisses de nos collègues, les fesses de Virginie sont tuméfiées, masse-les donc, s’il te plaît.
    — Sérieux ?
    — Très sérieux ! Elle ne demande pas mieux, elle vient de me le dire… Après, Virginie, tu pourras prendre ce pyjama noir, tu seras une superbe geisha. Moi je mets cette nuisette. Mais allonge-toi donc sur le lit !
    
    Elle m’obéit en riant. Mickaël commence à palper ses fesses puis, très vite, il est à genoux sur le lit, ses cuisses de part et d’autre de celles de Virginie. J’enlève chemisier et soutien-gorge et je mets ma nuisette. Anne-Laure ...
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