1. Alicia et son papa (13)


    Datte: 12/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... pour retarder ainsi l’échéance. Ou alors il mijotait quelque chose de terrible. Nous mangeâmes en silence, je gardais la tête baissée, assise sur le bord de ma chaise, car mes fesses étaient particulièrement douloureuses. J’espérais qu’il n’aggraverait pas leur état, les boursouflures violacées gravées dans ma chair étant difficiles à supporter. Après le dîner, nous avons rangé la cuisine et tout nettoyé. Puis papa est allé s’asseoir devant les actus de 20 heures et je me suis agenouillée à ses pieds. J’ai commencé à frissonner dix minutes plus tard, au point de me sentir mal.
    
    — Papa... Monsieur, j’ai froid, ça ne va pas.
    
    — Ali ?
    
    Papa se pencha pour m’examiner, il toucha mon front en fronçant les sourcils et se leva brusquement. Il me souleva dans ses bras comme si je ne pesais rien et me porta dans ma chambre. Je grelottais quand il me ramena la couette jusqu’au cou, je serrais les dents pour les empêcher de claquer. Le thermomètre de contact indiqua 38.7°, aussi papa décida d’appeler un médecin. Je somnolais quand celui-ci s’approcha de moi ; c’était le type au visage rougeaud qui m’avait prescrit le traitement pour faire grossir ma poitrine. Il était vraiment toubib, ce type ?
    
    — Tu lui as donné quelque chose ? demanda-t-il à papa.
    
    — Un gramme de Doliprane, c’est tout.
    
    — D’accord. ...
    ... Température 38.8° maintenant, c’est stabilisé. C’est un simple coup de froid, je pense. Elle ira mieux demain. Sa poitrine n’a pas dû grossir, j’imagine... Non, en effet. Bon, garde-la au chaud, surtout, et appelle-moi si ça ne s’améliore pas, disons demain matin.
    
    Plus tard, papa s’est glissé dans le lit pour me tenir chaud ; je me suis blottie contre lui et me suis endormi la tête sur son épaule pour un sommeil sans rêves. Je me suis éveillée au petit matin, bien avant le réveil, tenaillée par une envie pressante. Je me sentais bien mieux, la fièvre avait dû tomber. Je suis revenue sous la couette, au chaud.
    
    Papa dormait à poings fermés, étalé sur le dos, il occupait bien plus que la moitié du lit. Par inadvertance, en posant la main sur son ventre, je touchai son membre qui me sembla bien raide. Je me tortillai pour m’approcher, saisis la bite et la guidai vers ma bouche. Je la décalottai et pris le gland au chaud, dans ma bouche. Je commençai alors à le téter doucement, il ne tarda pas à prendre de la vigueur, emplissant ma cavité buccale. C’est alors qu’une grosse main se posa sur ma tête.
    
    — Ali ? Tu vas mieux ? Dieu merci...
    
    Je sursautai, mais sans mordre ce que j’avais en bouche, bien sûr ! Je libérai le gland pour sortir la tête de sous la couette.
    
    — Bonjour et merci, papa. Monsieur. 
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