Alicia et son papa (13)
Datte: 12/04/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
J’entrai sans faire de bruit dans la maison après avoir rangé mon vélo. Puis je me déshabillai rapidement et allai m’agenouiller devant mon père. Il avait jeté un œil distrait sur moi, mais je savais qu’il avait remarqué les ecchymoses sur mes seins et mon ventre. Mais il n’a rien dit et m’a laissé œuvrer en silence ; alors j’ai englouti son énorme bite jusqu’au fond de ma gorge pour la pomper avec conviction. Il n’a pas bougé et a continué à lire son journal sans se préoccuper de moi.
J’ai sucé et léché l’épaisse tige bien raide, aspiré chacune de ses couilles dans ma bouche, cependant de longues minutes avant qu’il éjacule de bonnes rasades de semence sur ma langue tendue. Après avoir dégluti et minutieusement nettoyé la colonne de chair, je me mis en position d’attente, à genoux, et les mains dans le dos pour dégager ma poitrine.
— Tes seins ne grossissent pas vite ; tu prends ta gélule tous les jours, au moins ?
— Bien sûr, oui Monsieur, m’exclamai-je.
J’ai failli hausser les épaules, je ne crois pas que papa aurait apprécié. Ce n’est pas ma faute si je n’ai pas beaucoup de poitrine. Ni si le traitement n’est pas très efficace. Sûr que j’aimerais avoir de gros nénés, mais ce n’est pas comme si j’étais plate ! J’ai de beaux seins, ronds et fermes, pas agressifs. Impertinents, j’entends parfois. Je ne sais pas trop comment un sein peut être impertinent, mais bon...
— Monsieur Rodriguez y tient. À propos, il m’a appelé ; tu as encore fait des tiennes, il ...
... paraît. Tu m’as doublement déçu, aujourd’hui. Tu travailles mal, tu fais des bêtises...
— Mais...
— Je t’ai donné la parole ? tonna mon père. Monsieur Rodriguez m’a dit que tu l’avais interrompu, lui aussi. C’est une très mauvaise habitude. Peut-être que je t’ai mal éduquée. Dans ce cas, c’est ma faute. C’est ce que tu penses ?
— Papa, non ! Je veux dire, Monsieur, ce n’est pas votre faute. Maman et vous avez été les meilleurs parents dont je pouvais rêver. C’est seulement moi qui suis fautive, j’ai du mal à me retenir quand je suis victime d’une injustice.
— Parce que tu es victime d’une injustice ?
— Monsieur, vous savez bien que oui. Je ne suis ni fainéante, ni idiote, ni menteuse. Je travaille vite et bien, je fais peu d’erreurs. Pourtant on me traite comme une demeurée et on cherche sans arrêt à m’humilier.
— Tu n’es pas une demeurée, ma fille. Tu as seulement trop de fierté pour obéir sans te rebeller. C’est pour cela que tu es si souvent punie.
— Même si c’est injuste, Monsieur ?
— Oui. Si j’attendais que tu commettes une erreur pour te punir, je ne te battrais pas assez souvent à mon goût. Il en est pareil pour Monsieur Rodriguez, il aime te contraindre et te punir. Si tu es humiliée en plus, c’est la cerise sur le gâteau. Tu comprends ?
— Oui, je crois...
Papa me montra la clé et je me tournai pour lui présenter le cadenas placé sur mes reins ; il m’envoya à la salle de bain pour la suite. Cette fois encore, j’eus du mal à ôter les godes, ...