Amnésie
Datte: 10/07/2020,
Catégories:
fh,
2couples,
fplusag,
cocus,
fsoumise,
facial,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
hsodo,
attache,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Viona, Source: Revebebe
... même une fois sur un parking d’autoroute, sous les yeux de routiers qui se branlaient. Certains sont venus assez près pour éjaculer sur moi.
Je suis même devenue une complice. Une fois il m’a cachée dans sa salle de bains pendant qu’il recevait une nouvelle conquête. Alors qu’il l’avait allongée nue sur son lit et aveuglée,pour augmenter les sensations lui avait-il dit, il m’a fait venir pour que je la caresse. Elle a été ma première expérience lesbienne. J’ai fait jouir cette gamine d’à peine vingt ans uniquement avec ma bouche et ma langue. Finalement c’est facile pour une femme de trouver la bonne façon. Ensuite il l’a prise longuement pour la faire jouir à nouveau sous mes yeux et j’ai adoré cela. Il est devenu ma drogue, acceptant même de lui obéir à distance.
Sur son ordre, j’ai fait de plus en plus rarement l’amour avec mon mari. J’ai accepté d’autant plus facilement que je n’étais plus à l’aise avec Marc. J’avais peur de me trahir et de laisser remonter à la surface la femme nouvelle et salope que Stephan façonnait jour après jour. Je me suis également promenée avec un gode dans les fesses ou des boules dans la chatte, dont il pouvait activer les vibrations par sms.
Et puis un jour, il m’a dit :
— Samedi, dans quinze jours, je suis invité à une soirée chez des amis. Tu viendras avec moi. Ils vont parfaire ton éducation. Tu ne devrais pas le regretter.
— Mais, je ne peux pas me libérer pour une nuit…
— Débrouille-toi. De toute façon, si tu ne viens pas, ...
... je parle à ton mari !
Alexandra a refusé de me servir de couverture et je ne voyais personne à qui demander ce service. Mais elle m’a donné une idée.
— Le mensonge le plus gros est celui qui passe le mieux. Je connais quelqu’un qui est parti plusieurs jours de chez lui et qui en rentrant a fait croire à une amnésie. Eh bien, ça a marché !
oooOooo
Voilà comment ce samedi, vers seize heures, je me suis débrouillée pour avoir une dispute avec mon mari et partir en claquant la porte, avec mon sac à main comme seul bagage. Train et taxi m’ont emmenée à la porte d’une grande maison dans la banlieue à Rambouillet. C’est Stephan qui m’ouvre.
— Pose ton sac ici. Tu n’en auras pas besoin.
Toujours aussi bavard. Pas tendre pour un sou, mais la main qui se saisit de la mienne est douce et rassurante. Nous montons deux étages, la maison semble vide. Enfin, après une porte et quelques marches de bois brut, j’entends du bruit. Des conversations semblent passer par les interstices de la porte qui se dresse devant nous.
— Attends.
Je m’arrête et il me place un bandeau sur les yeux. Une porte qui grince, des conversations qui s’arrêtent, quelques marches et je foule le plancher de ce que je devine le grenier de la vieille demeure. Il me guide. Des mains se saisissent de mes bras pour les lever et les attacher au plafond.
— Ne bouge pas. Tout va bien se passer.
Stephan m’abandonne.
— Je vous présente Hélène, dit-il à l’assemblée.
Je sens que l’on s’approche de ...