Amnésie
Datte: 10/07/2020,
Catégories:
fh,
2couples,
fplusag,
cocus,
fsoumise,
facial,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
hsodo,
attache,
yeuxbandés,
confession,
Auteur: Viona, Source: Revebebe
... voulait te parler pour que tu viennes nous rejoindre, mais j’ai pensé qu’il fallait te laisser aller au bout de tes envies. D’où toutes ces situations et ce week-end pour apothéose.
Je ne peux m’empêcher de réagir.
— Si je comprends bien je suis le rat de laboratoire que des chercheurs étudient en le mettant dans un labyrinthe et dissèquent ensuite ?
— Ma chérie, intervient Marc, tu serais plutôt une souris et reconnais que le labyrinthe avait de très nombreuses friandises pour aiguiser ton appétit et réaliser tes fantasmes !
Et il pousse le son du film qui ne s’est pas arrêté. Je m’entends crier ma jouissance à grand renfort de « encore, encore » ! Enfin, il coupe la télé. Le silence s’installe. Stephan avance. Il prend mon visage entre ses mains et m’embrasse. Un flash et je me retrouve le jour où je suis allée chez lui la première fois. Même baiser, même parfum.
— Déshabille-toi.
C’est une femme désemparée qui, sous le regard de son mari, défait cette robe qu’une autre lui a donné. Comme mes sous-vêtements ont subi un sort tragique, je suis nue dessous.
— Montre à ton mari ce que tu sais faire maintenant.
Marc est assis juste en face de moi. Il se soulève pour que je tire son short, le dernier vêtement dans la pièce. Je découvre son sexe déjà en érection. Assez bizarrement, je suis fière de cette réaction. Sa femme le fait encore bander. Mais est-ce sa femme ou la salope qu’elle est devenue ? Peu importe. Je vais lui montrer que la souris de ...
... laboratoire a bien appris sa leçon.
C’est la première fois que je suce vraiment la queue de mon mari sans me contenter de simples léchouilles. Mon plaisir est entier. C’est comme si je la découvrais vraiment. Son gland est beau, pyramide de chair à la peau si tendre et délicate qu’elle frémit à chacune de mes caresses. Bien sûr, mes mains s’occupent de ses couilles, elles aussi tendues et déjà plaquées contre la hampe. Je n’ose le regarder dans les yeux, mais je sais qu’il suit ma progression. Sa bite est noueuse mais pas très longue et il m’est facile de la gober. Que de temps perdu ! Je le pompe, aspirant son dard. Je l’astique de mes lèvres, laissant couler des flots de salive qui déclenchent le bruit de succion que les hommes adorent.
J’attends la montée de son jus que je m’apprête à recevoir dans ma gorge en signe de soumission et de retour de la femme adultère, mais aguerrie, à la maison. Mais une main me retire et me guide vers le sexe de Stephan qui s’est assis à côté. C’est à son tour de se faire pomper. La sienne, je la connais de fond en comble. Les yeux fermés, je pourrais en dessiner les contours, chaque veine, le grain de la peau, la grosseur des couilles. La sienne est bien plus longue et grosse et j’ai plus de mal, mais fidèle à son habitude, il plaque ses mains sur ma tête me force à le gober bien à fond. Je pleure et à travers les larmes je vois mon mari qui regarde le travail du dresseur avec intensité. D’autres mains me caressent le dos et les fesses.
Mais ...