1. Madeleine, ma vieille voisine est une coquine


    Datte: 10/07/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... que ça te gênerait, mais maintenant elle doit être à tordre. Ce serait bien de l'aérer.
    
    Eh bien toi, tu n'es pas gêné au moins ! Tu te rends compte qu'on est voisins , que l'on ne se connaît que depuis hier et déjà tu me demandes d'enlever ma culotte en public ? . . . A mon âge ?
    
    Arrête un peu avec ton âge. Je suis sûr que tu en meurs d'envie.
    
    Oh oui ! Mais... surveille un peu autour. »
    
    Elle tourne la tête de tous les côtés pour vérifier que nous sommes seuls et d'un coup, glisse ses mains sous la robe pour descendre sa culotte. Alors qu'elle se trousse, je remarque qu'elle porte des bas.
    
    « Mais tu es une coquine ! Tu avais prémédité notre sortie et tu étais habillée sexy !
    
    Pas du tout !
    
    Et ces bas alors ?
    
    C'est mon mari qui voulait que je ne porte que ça. J'ai pris l'habitude et je ne sais plus m'habiller qu'ainsi.
    
    C'est super ! Et... avec jarretelles ?
    
    Bien sûr petit coquin ! »
    
    Pendant ce dialogue surréaliste, Madeleine s'est débarrassée de sa culotte et me la montre. Bien sûr, je m'en saisi et la porte à mon nez pour la sentir. Elle est bien humide et les effluves de son linge intime sont délicieuses. Ses fragrances m'enchantent.
    
    « Il faudra que tu la remettes si tu ne veux pas mouiller ta robe. Elle est très jolie, et très... goûteuse !
    
    Salaud ! »
    
    Je replonge sur sa bouche, alors que la mienne est encore imbibée de sa mouille et nous reprenons nos baisers enfiévrés. Je glisse une main sous sa robe et Madeleine ne fait aucun ...
    ... obstacle. J'ai même l'impression qu'elle écarte bien ses cuisses.
    
    Quand mes doigts touchent sa vulve, je découvre des lèvres totalement glabres. J'arrête mon baiser et lui déclare :
    
    « Salope ! Tu n'as pas de poils !
    
    Je suis épilée définitivement depuis longtemps à la demande de mon mari qui était aussi vicieux que toi. Tu aimes ?
    
    J'adore tu veux dire et il me tarde d'y plonger ma langue et mes lèvres. »
    
    J'enfonce deux doigts dans sa chatte brûlante et trempée. Je la branle ainsi sans oublier son petit bouton que je sens tout dur. Madeleine réclame « embrasse-moi vite » Quand je plaque mes lèvres sur les siennes, c'est pour couvrir le cri qu'elle pousse et que ma gorge atténue.
    
    En quelques secondes, Madeleine a jouit sous mes doigts et quand je me recule je peux voir ses yeux bleus troublés de plaisir.
    
    « Oh merci ! Que c'est bon ! Tu te rends compte qu'on est là sur ce banc et qu'on se comporte comme des ados.
    
    Des ados un peu délurés tout de même. Je dirais comme des jeunes que nous sommes toujours.
    
    A quatre-vingt ans bientôt, je me dévergonde dans un lieu public avec un homme plus jeune que moi, qui me branle et me fait jouir comme une collégienne !
    
    Tu es une adorable collégienne octogénaire.
    
    Tu es gentil, mais dis-moi. Tu as déjà eu des expériences avec des vieilles femmes ? Ça n'a pas l'air de te gêner.
    
    J'adore toutes les femmes. Quand j'avais vingt deux, vingt trois ans j'ai craqué pour une femme plus âgée. Malheureusement j'ai fais l'erreur ...
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